hauteur

Une particularité souvent ignorée des rollers ou du skateboard réside dans ce changement de taille qui s’opère dès lors que vous chaussez les rollers. Concrètement, vous mesurez au minimum dix centimètres de plus. Cette modification de votre physiologie sportive va impacter plusieurs sens lors de votre pratique. La proprioception, le regard, le sens de l’orientation, votre vision sont sensiblement différents. Prendre une chaise, atteindre un distribanque, saluer vos amis, qui eux sont en basket, surprendra chacun. Vous mesurez 10 cm de plus que d’habitude, et eux sont plus petits. Est ce là un signe de supériorité du roller sur les simples piétons que nous sommes ? Oui, dans le sens ou un rollerskateur sera plus rapide en déplacement sans plus d’efforts, mais non, car il faut aussi savoir rester humble et comprendre qu’une chute peut intervenir toujours par surprise.

Précisions

En free ride, la précision les précisions sont souvent cachées là ou l’on ne les attends pas. Si les éléments, neige-eau-route semblent facilement accessible, l’expérience montrera que l’apparence inerte du terrain d’évolution sera faussement prise en compte sans une préparation sérieuse, rigoureuse, attentif. Par exemple, la route et en ce qui concerne les slides ou demi-slide, sont plus où moins accessible selon la température du sol. Certes, cette valeur du paramètre d’adhérence est mesurable, mais il devient compliqué, voir pénible de prendre la température du sol afin d’adapter le choix des gommes ou leur densité en fonction de sa valeur thermique. Nécessité de professionnalisme pour survivre. Ainsi, la texture de la neige en ski, la rugosité de l’eau en surf, offrent une marge de manœuvre ou le rideur pourra s’exprimer d’une manière indépendante des choix techniques. Si un plan d’expérience est structuré pour déterminer l’occurrence de chute, statistiquement, les erreurs d’appréhensions du terrain seront à corriger par le sportif lui même, imposant également une grande précision dans les préparations physiques et mentales. NE Rien Laisser AU Hasard !

Outil

La simplicité des outils de free-ride possède ce point commun avec les « outils » thérapeutiques qui sont utilisés en cas de blessure. Des skis, un skate sont toujours des éléments rudimentaires et basiques, tout comme un fauteuil roulant, des béquilles ou une atèle de poignet. Sauf que l’orientation permet de soutenir le corps en cas de thérapie, alors qu’il s’agit d’épanouir le corps en cas de sport. Dans de nombreux cas, les éléments nommés contribuent à la vie en général… C’est avec ces éléments les plus basiques que l’osmose entre l’outil et l’individu restent les meilleurs… D’un côté un outil de compensation du corps, de l’autre un outil d’émancipation du corps. Toutefois, le digital, les matériaux moderne nous proposent des innovations qui contribueront encore d’avantage à l’augmentation des capacités, en free-ride, ou en médecine.

Fiche tecknic

La planche de freebord est d’un certain aspect, transitionnelle. Avec ces roues centrales roulant en permanence, vous devrez basculer, d’un coté à l’autre, pour trouver, choisir votre « drift » ou « slide » avec les roues latérales… En effet, ses roues centrales pour celles et ceux qui ignorent tout de la freebord, ou les spinners, pour les habitués, roulent constamment au sol. Avec en plus, un axe de rotation sur la verticale, centré sur la planche, donc, vous avez une roue libre, doublement. Dans la vidéo ci dessous, vous verrez la hauteur de bascule, puisqu’un coté drift, l’autre n’est pas en contact avec le sol et inversement. Lors de vos tentatives d’usage de cet engin roulant identifié, vous choisirez un coté, pour permettre le glissement des roues latérales, tandis que celle centrale ne glissent jamais. Pour ensuite basculer sur l’autre et ainsi de suite… Une hauteur de 0,5mm à plus 1cm est souvent nécessaire pour un bon équilibre. Naturellement, plus la hauteur de bascule est importante, plus la planche est bancale. Toutefois, cela peut éviter la faute de quart, qui provoque le back-edge, traduit par « l’envoi au tapis ». A vous de tester donc, avec la planche en transition, le changement de côté. Mouvement d’un appui latéral à l’autre, avec bien sûr les rotations sur votre axe… Avec deux paramètres à prendre en compte, la taille des roues latérales, et le réglage des hauteurs de roue centrale… C’est dans sa position de transition intermédiaire que l’on trouve cette petite sensation de carving semblable au surf…

Diet

La supplémentation nutritionnelle permet de trouver des apports particulièrement précis, à prendre dans le cadre d’un suivi médical, ou bien des compléments généraux disponibles en magasin ou sur Internet pour supporter une activité sportive régulière. Les conseils proposés sont ici de ne surtout pas modifier son alimentation et de conserver une base nutritionnelle régulière composée par ordre décroissant d’importance de :

Sucres lents – Protéines – Lipides – Minéraux

L’usage des poudres d’aminogramme, présentés ici propose un soutien métabolique qui exclu tout mélange avec le tabac, l’alcool ou tout autre drogue ou médicament. Attention, en cas de problème parlez en à votre médecin.

D’une manière générale, différents arômes sont disponibles, Vanille, Chocolat, fruits rouges… Et pour une bonne complémentation, un seul supplément par jour suffit amplement. Avec deux options, avant l’effort pour stimuler, ou après pour reposer et ainsi amplifier les ressentis. De cette manière, accentuer ses sensations favorisera le métabolisme.

Freebo/Wavebo

L’été reste un moment propice à la pratique des sports de mouvements free-ride, en skatepark ou sur des routes adaptées, aux moments adaptés de la journée. Ici l’article du jour inspiré de nos amis d’Auto/Moto, présente un comparo entre la freeboard alpha, et la waveboard, avec mon ami et néanmoins expert ; Julien Streit. Un point commun entre ces deux planches ? La présence des roues centrales, avec les spinners pour la freebo, roues libres en bon Français, et les roues de chasse, moving wheels pour la waveboard. Rappel, la freeboard alpha présente une capacité définie à son glissement par le roulement permanent des roues centrales, opposées à un angle latéral choisi pour le coté en glisse. Inversement, la waveboard, elle possède un angle de chasse avec une torsion centrale, qui en opposition de force lors de l’impulsion alternative, génère une cinématique d’avancée permettant de se mouvoir sur terrain plat. Contrairement à la freeboard qui elle n’est destinée qu’à la descente. Prototyper l’effet des deux dans une seule planche, direz vous ? Cette option pourrait être une avancée technique sérieuse pour concevoir une freeboard de descente, « Keyboard » capable de générer son mouvement sur le plat ou les côtes. Faisable, avec une torsion centrale, de type plateau scindé, et de bonnes heures de bricolage en perspective… (Sauf si l’angle de chasse empêche la conservation de la direction lors du slide latéral). N’oubliez pas, lors de sessions de votre côté, placez le plaisir avant tout, étudiez votre technique, cela procurera de bon moment en session !

E-skatedrive

La sérendipité, dûe à la volonté de trouver un moyen de rôder, prowler les roues d’inlinerollerskate afin de déglacer le vernis nécessaire à l’obtention de l’adhérence optimale, abouti à la création de l’objet suivant : Le E-skatedrive ! Question de fabrication des roues, le vernis de finition génère une adhérence particulièrement haute, qui rend quasi impossible la glisse à vitesse réduite. La problématique d’usinage sur machine outil, en atelier étant exclue car la capacité de recyclage des usures d’uréthane demande l’identification du bon réseau de collecte. L’option de la modification d’une trottinette, scooter, équipée d’un frein magnétique de recharge des batteries, fut possible à partir de la localisation de la batterie dans le guidon. Le résultat est pratique avec différents aspects d’usage :

Le frein en roller, le guide d’équilibre, la propulsion motorisée, port de bagages, le rôdage des roues, ect… le lien avec le Mottrix, les potentialités sont nombreuses, le parangonnage également. Toutefois, les plans de ce type de projet existent déjà vraisemblablement pour de nombreux bureaux de recherche et développement. La question d’une optimisation avec un plateau amovible, destiné à créer la jonction avec un skateboard remorque est possible. Le schéma viendra ultérieurement sur le site www.e-skatedrive.com et pour plus d’infos sur le sous produit de ce blog lié à la glisse urbaine, contactez le webmaster qui répondra avec plaisir à vos questions. Enfin, le roller électrique étant particulièrement compliqué à construire en raison des emplacements et poids du moteur, des batteries, des commandes, l’adjonction externe du e-skatedrive s’avère un moyen adapté à gérer le roller en déplacement motorisé, comme les frères Galliazzo le faisaient en 2001 à Leysin avec des moteurs 2 temps hérités du karting. Notez également l’aspect interrogatif du site parallèle dans les approches numériques et digitales des réseaux imbriqués les uns aux autres, autour du skate, et free-ride en général, évoquant les relations entre les époques, les protagonistes, les lieux, les techniques, les outils, destinés à skater, optimiser la médecine, et, toujours garantir un max de plaisir !

Buskin’ 4 Hawaii

La découverte d’un autre monde, les possibilités infinies d’un renouveau, le voyage… En free-ride, les mouvements du simple geste d’un souhait avec une main tendue, ou un vol intercontinental de 27000 pieds d’altitude vers d’autres hémisphères, sont, la vie en elle même. Bouger, se déplacer, aller et venir, glisser, sur des vagues, des pentes neigeuses, une route, à vélo… Reste à savoir comment vivre dans cette position déterminée à atteindre un objectif. Car nous ne vivons plus dans le jardin d’eden. Il est aujourd’hui quasiment impossible de se déplacer comme dans l’antiquité ou les hommes et les femmes trouvaient de la nourriture offerte par la biodiversité sur un chemin. Les fruits… Du point de vue économique, il n’est pas possible de survivre sans argent pour régler le sandwich et la boisson. Payer l’hôtel, payer le dîner, payer le taxi, payer le fret des bagages, tout cela n’est pas possible lorsque l’on se consacre exclusivement au déplacement de l’agence de voyage : le but à atteindre ! Une destination… retrouver les personnes que l’on aime. Alors, dans cette promesse de surprises toutes plus étonnantes les unes que les autres, la compréhension et l’action dans le quotidien s’avère être une voie inépuisable de collaborations dans le soutien à la vie des temps qui sont les notre. Arriver dans un village, trouver du travail à la plonge d’un restaurant, bosser le truc en équipe, et avancer vers un destin choisi, ensemble, avec vous. Reste derrière soi, après la suite du chemin parcouru, un souvenir de partage et de construction, ou bien, l’absence, le vide, la tristesse et l’oubli. S’arrêter parce que l’on a pas le choix, ou s’arrêter parce que l’on a envie. Continuer sa route parce qu’on a envie, ou parce que l’on a pas le choix. C’est un peu relou ce voyage permanent d’aller nul part, comme l’évoquait mademoiselle Alicia Keys… Let’s go !

Biofreeze

Ce produit est un spray accessible en pharmacie sans ordonnance, depuis 2016, proposé par les laboratoires Performance Health. Pourquoi présenter ce spray ici ? Et bien deux raisons, la première reste que les pratiquants de roller et de skate les plus sérieux savent parfaitement qu’en dehors d’une compétition rémunératrice à couteaux tirés, une simple chute de balade va corporellement s’amortir de manière inévitable au niveau des hanches, ou des fesses, si vous atterrissez tranquillou de profil ou de dos. La chute de face reste possible bien évidemment, toutefois les mains, ou les avants bras si c’est vite, morflent la plupart du temps au contact. Résultat : Contusions, hématomes, élongations, légères foulures, ne pas encombrer les urgences pour des bobos, cela va de soi. Biofreeze est prévu pour : « atténuer temporairement la douleur en cas d’affection bégnine, telle que douleur musculaire, articulaire, maux de dos, luxations et entorses ». Attention, le spray est exclusivement destiné à une application cutanée, 3 à 4 fois par jour sur la zone douloureuse. Mais, d’abord lisez la notice ! Ne pas appliquer sur les plaies, ni les hématomes. Puis, consulter un médecin s’avèrera nécessaire en cas d’aggravation ou stagnation des symptômes. Il s’agit bien de prendre en compte un trauma bénin, toutefois sensible. J’ai personnellement utilisé Biofreeze avec succès dans des sensations de raideur dues au contact maladroit avec le sol de notre belle planète. Rassurez vous, je ne montrerai pas mes fesses sur mon blog vidéo, ni rien d’autre d’intime d’ailleurs. Et la deuxième raison de cet article Biofreeze ? Et bien aux prémices de ce travail blogguistique, en mars 2019, un échange d’email avec le service commercial de Biofreeze, super sympa, me gratifia du spray, utilisé depuis, avec comme renvoi d’ascenseur prévu, le topo que vous venez de lire. Malheureusement, j’ai abordé un article prioritaire dédié à la thermosensibilité et nos capacités d’adaptation, laissant longtemps aux oubliettes ce deal pour des raisons indépendantes de ma volonté, ce qui est aujourd’hui réparé ! Ensuite, la confidentialité de ce placement produit ne soulèvera pas davantage les notions de coûts et valeurs relatives à ce type de contrat amiable informel et approximatif. Même si la Cnil surveille les « influenceurs » vantant le botox ou les pratiques de la médecine borderline, par exemple, les notions de rentabilité numérique sont aussi complexes, opaques, piratables, nécessitant peut être un Doliprane pour le mal de tête ? (deuxième placement produit, c’est cadeau…) Un prochain sujet économique à part entière sur le blog ? Avec l’aide d’un paradis fiscal anonyme et des Urssaf du Limousin, on va bien se marrer… Et rire, c’est déjà une forme de thérapie face aux blessures de la vie. Rester prudent en free-ride, ce n’est pas parce que Biofreeze marche plutôt bien qu’il faut se vautrer exprès !

Road trip end

Combien sont-ils ? Durant les 25 dernières années, à avoir cédé à l’appel du voyage, inhérent d’un free-ride entier ? Oui, moi-même dévolu, j’ai bouffé de la route, pour atteindre ces destinations exotiques ou dépaysantes. Toutefois, pour certains, le mode de vie nomade s’avérait un choix précis. Le van, devenant cocoon autoroutier, s’est rencontré ainsi que ses habitants, aussi bien sur la côte sauvage océanique Portugaise, qu’au parking des Grands Montets d’Argentière. Véritable mythe, combien étaient-ils en France, en Europe, à risquer ce mode de vie ? J’estimerai leur nombre à peut être environ 5000 routards, ayant tentés de vivre franchement du free-ride à part entière, pour osciller entre jobs saisonniers et sessions multiples, collés au plus près des meilleurs spots ou des chantiers professionnels. Le pari était risqué, même si tout semblait fiable en théorie. Pour ma part, j’ai considéré qu’une berline spacieuse était plus rapide, plus discrète, plus fiable, plus légère et donc plus adaptée au déplacement pour mes aventures de glisse. Toutefois, j’ai un profond respect pour mes homologues rideurs qui ont vécus ce road-trip, ce voyage routier moderne, fantasmé à la Kerouac, affrontant ainsi la terrible équation nécessitant l’approvisionnement du compte bancaire en pognon, divisé par les jours passés à glisser. Aujourd’hui, les choses ont profondément mutées, la pléthore d’écoles et centres d’apprentissages professionnalisent dès le plus jeune âge au métier de cascadeur des glisses extrêmes. Et donc, le van s’embourgeoise, devient camping-cariste… En parallèle, les vans des premiers jours, d’une épopée naissante au fil des années 90, finissent rincés à l’horizon 2025 échoués parfois en free-party ou tecknival, brûlés, abandonnés en mobile-home pas vraiment mobile, ou, pour les plus lucides ou travailleurs, survivent encore, entretenus, parés, contrôle-techniqués. Tous rêvaient d’idéal, combien ont-ils pu toucher les étoiles ? Dédicace à ce mythique bon vieux Mercedes 302 et son chauffeur changeant, qui plusieurs fois, m’avait pris en autostop…

H o T montagne

La haute montagne et ses températures, froides à vous glacer le sang dans le vertige de skis en forte pente, mais comment amorcer ce put*** de virage… C’est aussi ce que musicalisait Vivaldi dans les 4 saisons ! Printemps, été, automne, hiver… Reconnaissons clairement : Sans être intégriste écolo, les sports de glisses sont en première ligne du réchauffement climatique. Un paysage hivernal de désolation terrifiante pour la pratique du ski, reste la réalité malgré l’hypnose médiatique de quelques skieurs privilégiés, jouissant de la bonne neige au bon moment, comme une illusion dramatique d’un faible réchauffement. Les lascars de ma génération le savent, pratiquant ce ski depuis plus de 30 ans, l’enneigement se meurt dramatiquement, comme des forces totalement amoindrie d’un cancéreux en chimio. Lorsque l’Est Républicain titrait en mars ou avril, « la saison est sauvée dans le Haut Doubs », je crois qu’ils pratiquent surtout la méthode Couet. Autre fait notoire, la hauteur des vagues océanique monte. Inutile d’aller à Hawaï, rien qu’à la gravière ou parlementia, c’est gros et consistant, je ne crois pas que mes quelques lecteurs Basques contestent mon propos, bien qu’étant assez éloigné de la côte. Et je ne parle pas de Belhara ? Pour ce qui concerne la glisse urbaine, c’est d’une logique spatiale enfantine, trop de voiture, on ne peut pas vraiment faire de skate. Alors oui, le monde change, visiblement très vite, à la mesure d’une vie humaine, ce qui serait nouveau d’après nos scientifiques. Avant que les problèmes ne touchent à cette notion lourde d’effondrement civile, j’aimerai ici mettre en balance les philosophies contemporaines des sports académiques : Leur source de vivre ensemble, du respect, des performances, de record et autres modèles… Et au contraire, le message des sports de glisse, dont je m’approprie ici la teneur, avec cette conscience spécifique de la vie face au danger, d’une pratique dite parfois « extrême » de créativité… Dans les deux cas, nous restons hypnotisés par les exploits. Il va falloir prendre un peu de recul, avant que l’élan l’emporte oui ? Vous voyez, je déroge même à ma règle d’un article mensuel, alors Action ! (Non pas le supermarché, mais la cause de cette solastalgie s’il vous plait…) Posons cette question inévitable, parce j’aime bien mettre mon grain de « skate » : Est ce vraiment utile d’engager des moyens lourds pour déplacer et aménager des tonnes de neiges (du fonds des combes ou de canons) avec un cumul énergétique forcément déficitaire, destiné à amuser une poignée de nantis compétiteurs ou touristes opportuns ? Oublier ce tire-fesse moyenne montagne, incinéré, enterré, démonté-donné, je ne sais déjà plus… Si vague de chaleur il y a, tirons en le meilleur, of course ! Pour le Mont d’or, Les Rousses, la Bresse, Métabief, un truc « funky blue beat » sera d’être déjà sur place lorsque les quelques jours, quelques heures de neige, permettrons de rider. Comme au Sacré Coeur, mon vieux campeur ! Les réseaux immobiliers, télétravailleurs vont répondre dans la durée. Ou s’adapter raisonnablement, en chaussant les rollers ! J’aime bien les questions pimentées… Révision du plan dans vos médias habituels !! Enfin, peut être… si le lobby du ski admet la réalité.

Changer de roller

La sécurité ne transige pas en roller… Quand les apôtres du casque vous harcèlent psychologiquement pour que vous portiez ce couvre chef, personnellement, je vais encore me distinguer en faisant autrement. Balancez vos vieux roller à la poubelle ! C’est plus sûr d’avoir des patins en bon état. Roues fissurées, noyau cabossé, roulement grippé, vis foirée, mousse de la botte tassée, lacets éfilochés, pointe de pied percée, shock absorbeur épuisé, bref quand il faut passer le contrôle technique, il faut bien admettre qu’un vieux roller n’a pas grand chose à apporter… J’ai roulé avec ce patin pendant trois ou quatre trains de roues, en compétition, en free ride, et je dois écrire ici qu’il s’agissait d’un grand routier, le TR Vitesse de Salomon étant léger, précis, je dois rendre aujourd’hui à César, ce qui appartient à Cléopâtre… Trève de grivoiserie, j’ai chuté avec ce roller, notamment en compétition, alors il est grand temps de se séparer ce cet équipement qui m’a permis de rouler très vite sur route fermée, des vitesses avoisinant les 70 à 80 km/h… Le bon speed pour un slide Lausannois ! !

le custom du descendeur

Une grande tendance du roller de descente en particulier reste le custom… En effet, la customisation, le montage « maison » de son patin est une tendance qui se dégage du monde du roller… Ici, j’installe une platine 5×84 mm sur une coque rigide… Et il faut bien le reconnaître, il n’existe toujours pas de patin de descente vendu comme tel dans le commerce… Ou très peu. Certains fabriquants se sont risqués à cet exercice, mais à chaque fois une série limitée de modèles se vendent, la pratique étant assez nichées… Un chassis Salomon sur la botte Rossignol par exemple est un montage qui a fonctionné… Et puis c’est assez sympa de faire « son » roller en la fabriquant soi-même…

Déglaçage des roues

C’est la… corvée… Vous le savez peut être, peut être pas, mais les roues de roller lorsqu’elles sont neuves comporte un vernis extérieur particulièrement adhérent… Ce que je ne recherche pas du tout, logiquement, pour pouvoir glisser, par conséquent, il faut « rôder » les roues pour atteindre une adhérence moindre, ce qui permet de « slider » plus facilement, et donc se débarrasser du vernis en roulant sur une distance minimale de quelques kilomètres… Christian Montavon, le descendeur Suisse Lausannois (champion du monde 2007 sauf erreur de ma part, peut être 2006 et 08, je ne sais plus très bien j’ai la mémoire qui flanche…) m’avait confié un jour adorer déglacer ces roues… (un détail, …pour un Lausannois rouler à 70 km/h est habituel en roller…) Une chose est sûr, c’est qu’il faut toujours regarder sa trajectoire… Alors il faut patiner, patiner, patiner, pour user son vernis, avant de pouvoir glisser calmement-sereinement… (enfin, ne roulez pas à 70 en France, la vitesse est limitée à 50 en agglomération.)

Sac à dos story

C’est assez remarquable de voir globalement l’évolution d’ingénierie entre un sac à dos des années 70 et un sac à dos des années 2010… 40 ans séparent les deux objets, oh combien indispensables à la pratique du free ride… L’ergonomie, la fonction de transport, le contenant, et son contenu, tout est révolutionné, encore un bien fait de la croissance sur la qualité des produits utilisés, même si pour ces deux sacs à dos, on passe d’une fabrication Française à une fabrication sans doute asiatique.

Bien chausser ces rollers

Je sais ça peut paraître con, mais lorsque je vois des rollers, lorsque j’en vois, ce qui est rare, je distingue parfois des personnes qui n’ont pas bien chaussé leurs patins… Alors, c’est facile, il suffit de prendre le temps de bien ajuster son pied dans le roller, et le tour est joué ! je sais c’est con, mais quand on voit la quantité de rollers à vendre sur le bon coin, il faut bien se poser des questions : Pourquoi les gens ne font ils pas plus de roller ? Pourquoi les associations font elles un bide dans le roller en gymnase ? Pourquoi les pratiquants n’osent ils pas plus se retrouver le dimanche pour des randonnées ? Pourquoi uniquement sur la voie verte et pas au départ de chez soi ce qui est beaucoup plus simple ? Pourquoi la société régresse-t-elle dans ces capacités à faire du roller en somme ? Tant de questions sans réponses… Auxquelles j’essaierai d’apporter des éléments de réflexion ultérieurement dans ce blog, mais pour celle et ceux qui me suivent, vous l’aurez compris, il faut avant tout avoir confiance en soi et respecter les autres usagers de la voirie… Cette première règle simple et basique est aussi évidente que bien chausser son patin… Besançon ville sinistrée du roller ? Où sont les patineurs ?

La liaison au sol

En étant ni sur neige, ni à l’eau, la glisse urbaine vous fait parfois payer le prix fort lorsqu’il s’agit de chuter… Pour les plus acrobates, ou les plus apeurés, le casque est conseillé, évidemment, cependant, une autre tendance se dessine. En mode rando ou cruising, une simple paire de pad, protèges poignets est amplement suffisante. En cas de contact au sol, en effet, les mains du pratiquant amortissent la chute, donc mieux vaut être préparé à ce contact, pour pouvoir atterrir en douceur sur le bitume… Ensuite, ajouter des protèges genoux, coudes, hanches, pourra vous redonner confiance éventuellement, mais les blessures arrivent surtout lorsque l’on ne sait pas où l’on va, et comment l’on se déplace. D’autre part, l’entretien du matériel, servira également de fusible pour se protéger, à condition que le matériel soit de bonne tenue, suivi et compris lors de sa maintenance par le pratiquant… Rien n’est plus dur que la pierre pour de la chaire… Alors les roues, les chassis, les planches, les bushings sont là pour prendre à la place du corps… Et ainsi comprendre sa propre évolution. Aujourd’hui pour la littérature, je vous invite à tenir votre propre carnet de sortie, méthode héritée du professeur Saillant. Je profite de ce topic pour saluer ici son influence sur mon free-ride…

Salomon FSK 4x320mm

Un patin exceptionnel ! Un must have pour tous les descendeurs, je l’appelais le patin Lausannois, il fût monté à la fin des années 2002 par quelques Lausannois qui utilisaient une lame de forte pointure, à moins qu’elle ne fusse construite spécialement pour le free ride. Léger, semi rigide juste ce qu’il faut, maniable, je l’ai usé jusqu’à la corde, en faisant même une connerie c’était l’utilisation de frein filet trop puissant qui à foiré les pas de vis du chassis.

Les gros atouts de ce roller est qu’il offrait une économie de roue à l’entretien, mais une stabilité de platine de type descente…

Les changements de roue

Inévitable lorsque l’on roule, l’entretien de son roller, pour pouvoir garder une usure homogène de ces roues d’uréthane. Et oui, à intervalle régulière, il faut retourner ces roues de patin pour que la symétrie d’usure soit équilibrée, sans quoi, votre patin sera totalement dissymétrique. Il faut retourner ces roues, et perso, c’est à chaque sortie ! Il n’y a que quelques rares descendeurs qui parviennent à user les roues sur chaque profil en glissant de manière ambidextre, et donc en usant les deux côtés des bandes de roulement…

Ce petit geste de nettoyage et de retournement ne vous prendra pas très longtemps, les beaux jours revenant, cela sera un gage de sécurité et vous en apprendrez sur vous, lorsque vous réaliserez cette opération, car votre matériel va vous donner des indices sur votre manière de patiner. Non, un roller ça ne parle pas, ça laisse des indices… Alors profitons de cette phase d’entretien pour préparer les beaux jours…

Snowblading

Les mosquitos Salomon… Ou les Atomic carving, Decathlon weedzee, Ach so, wunderbar ! Compatibles comme la plupart des Snowblades avec des chaussures de rando de montagne… Peu onéreux et très accessible en terme de miniski, extrapolation des Big foot des années 80 où des fabriquants de ski loufoques avaient dessinés un pied géant pour les fixes de ski, genre de patin à glace pour les pistes verglassées… …Mais snowblading de conception aboutie, pour les découvertes de domaines en congés payés, ou les engagements de pente intimes extraverties. Slalom chaud de latte tronquée pour les 130 cm, ou rotations d’envergure pour les 100 cm faciles… This is THE polyvalence opened-skill for a great winter-bombing time, without forgotting the check up of the weather forcast before climbing up the mountains lift… Es ist ein link von snowblading toddlerung :

Le casque en cas de contest

Le casque n’est pour moi absolument pas indispensable à la sécurité en roller. C’est toute une philosophie de ne pas le porter. D’ailleurs, les statistiques le prouvent, les chutes et les traumatismes rencontrés ne concernent que les poignets, les coudes, les genoux. Alors quand certains imposent le port de cet accessoire, je dis oui, dans un cadre de compétition. Lorsqu’il s’agit d’une simple balade, vous allez vous greffer d’un accessoire supplémentaire, dicté par une association dont je tairais le nom, qui ne va au final que représenter un frein à l’épanouissement. Et même pire si on pousse le raisonnement, cela vous déresponsabilise, puisque vous suivez une injonction dont vous ne jugez peut être pas indispensable en votre âme et conscience, de porter cette protection. Ainsi, on retrouve plus d’accidents du poignet parce que les personnes se contentent du casque. Alors le prosélytisme de cette association est il infondé ? je pense que oui, le port du casque oui, dans le cadre d’une compétition !

Traçabilité matériel glisse urbaine

Premier skate en 1988 – détruit

Rollerblade inline step-in 1999 – Roulable collector

Tr Vitesse Salomon 2001 – Délicatement roulable

Coyote Rollerblade off road 2001 – Gourmandisement vendu

Rossignol descendeur 4 roues 2001 – Vendu état moyen blasé

Roces Sir Isaac 2002 – Etat neuf Meix Mesy tout droit

FSK Crossmax 2002 – Rincé usé démonté recyclé

FSK Deemax 2005 – Parfait état de roulage rando pépère

Freeboard alpha 2005 – Parfait état de roulage pépèrando

Powerslide Cell II 2006 – Usé bousillé essoré déchiqueté

Short board en 2008 – état moyen roulable

Rollerblade Twister 80 – Revendu état super maintien

Soit un bon paquet de roues… et des contacts au sol… A raison d’une sortie mensuelle en moyenne depuis 20 ans, avec en moyenne 7 à 12 km parcourus (voyons 10km, ce que je pense être assez peu, estimation par défaut, compte tenu de mon tempérament en ROLLER durant ces années… ) avec les très grandes sorties de mes débuts boulimique de roller, et les sorties régulière encore aujourd’hui quasi hebdomadaires, cela donne en 20 ans de ride urbain une approximation de 2400 km parcourus en roller ou freeboard… Ce qui doit être largement sous estimé. Avec 12 paires différentes possédée, plus quelques prêts, tests, essais matériels… sans compter le vélo ! ! Jamais d’accident responsable à un tiers… Que des petites blessures légères ! Un peu partout en Europe : Du goudron à perte de vue et un dédale urbain peuplé de femme splendides toutes plus soignées les unes que les autres dans leur styles… Ah, une fontaine potable… De Stockholm à Casablanca, Innsbrück à Brighton… Besançon, centre du monde de l’univers de l’espace galactique de l’Europe quadrimensionnelle ?

Rollerblade step in 1999/2019

20 ans, à pratiquer le roller sur tout les terrains, même les tout terrains d’ailleurs… 20 ans à écumer les boulevards et les rues, 20 ans à balancer mes grands bras de droite et de gauche afin de mieux trouver l’équilibre… Ces rollers ont été ma première paire, est sont aujourd’hui rincés d’avoir été mis en oeuvre avec autant de gourmandise, sans crainte de chuter, à une époque ou le roller était en pleine embellie puis en apogée et en déclin, allez savoir pourquoi…

L’usure des roues d’inline

Avec les roues de roller, une chose est largement connue dans le milieu des patineurs, c’est l’affinage de l’uréthane NH2-COOR (R étant un radical carboné) qui s’avère parfois étonnant après plusieurs années, 4 à 6 ans, ou plus, sans rouler. Après une immobilisation de cet ordre sur mes patins, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir une roue dégradée dont les propriétés de dureté et de forme s’effritaient au roulement. Alors, en plus la roue de patin, donne parfois des formes particulières avec la manière dont nous l’usons, comme l’illustration visible ici. De surcroît, l’opportunité de recycler ce donuts particulièrement fin, issu d’une roue d’Hypergrip d84/diam80, permet d’offir à ma compagne un bracelet d’une matière unique, une orfèvrerie d’art premier issue des matériaux de la glisse.

Le comparo des shops Bisontins

Petit aperçu des disponibilités en inline dans les magasins deBesack… Slide Box, Inter Sport 2000 et Décathlon… Une offre assez orientée Fitness dans ces trois commerces, avec des modèles polyvalents plutôt adaptés à la rando ou la balade…

Une offre pointue et stylée chez Slide, un choix accès de gamme qualité-prix hors pair chez Déchathlon, et des perspectives de perfo en rendement confort- speed très valables chez Intersport 2000…

Les vieux skis de l’époque

Quelques clichés pour montrer ce qu’étaient les skis du siècle précédent… Des télémarks, destinés à se déplacer malgré les fortes hauteurs d’enneigement des régions du Haut-Doubs… On a toujours tendance à oublier d’où venait cet outil de déplacement initial…

Les parcours plats devaient être simples, cependant, les descentes représentaient pour l’époque des défis spécifiques, comme en Suisse lors du pacte d’Uri, Schwyz et Unterwald en 1291, sans doute, des skis pouvaient être engagés pour relier Yverdon à Lausanne !

Si nous gardons les skis, accrochés ici où là, pour décorer nos murs, il reste bien difficile d’imaginer quelles pistes étaient utilisées pour ce type de matériels ? Peut être dans les récits de Bernard Clavel, persiste-t-il quelques indices écrits de la manière dont les hommes utilisaient ces planches…

Parce que le ski est une chose, mais la neige, vivante, devait contribuer à la manière dont les pistes étaient parcourues. Alors, j’imagine que la meilleur trace possible, était encore de filer droit dans la fraîche, et d’éviter les congères ! Sans être psychorigide, d’un souvenir de chemin dissimulé par l’hiver…

Rollerblade Twister 80

Un patin d’une qualité de fabrication hors-pair ! Robustesse parfaite, conception ultra efficace, rendement des roulements d’usine optimal, design masculin, chausson ultra confort, seul bémol le poids : 1 Kg 813 le patin, ça fait plus de trois kilos dans les baskets, c’est assez pesant. En montage de roue, ça donne 80mm de diam et 80A en densité, pour moi c’est optimal comme compromis pour de la grosse rando en up&down dans cette bonne vieille ville de Besançon.

Avec un détail sur le shock eraser dont je ne sais vraiment comment décrire ici la sensation, car cela rejoint la physiologie de l’effort du patineur. Enfin, disons que lorsque je changeais de plan, avec une impact faible, par exemple une bordure, une réaction ostéopathique créeait en moi un courant électrique particulier sur une partie charnue de mon anatomie destinée à la respiration digestive. Un style de choc électrique. Bref, je ne vous cache rien.

Enfin, un autre détail, concerne la pesée des patins, avec une disparité de plusieurs centièmes de grammes entre les deux pieds, mais surtout au lieu de noter une diminution du poids après le premier roulage, (dû à l’usure de la gomme) la balance de précision de la poste indiquait une prise de poids de l’ordre du centième de gramme. Sueur dans le chausson ? Pluie fine sur la coque ? Poussières tu redeviendra foussière…

TEk No Lo GiA !

Les chaussettes de l’archi-duchesse sont elles sèches archi-sèches chez Sosh ? Certes, je ne donne pas dans l’exploit interstellaire, cependant, ma prise de risque sur la route comporte parfaitement la conscience de l’impact dure. Alors, n’étant pas professionnel, et pourtant, veillant évidemment à ne pas perdre mon équilibre, j’attache un point d’importance aux détails ; All is lost ? Avec Robert Redford ! Alors bon, pour un sportif qui engage un déplacement, à moins de marcher sur la tête avec les mains, ou ramper sur les coudes du dos ou du ventre, il semble que les pieds soient le seul moyen d’avancer efficacement. Donc, vous pourrez noter à travers cet article, que les chaussettes Independant proposent une conception unique dans l’univers des moufles ;

Alors, cet ouvrage tissé magnifiquement comporte un assemblage de tissus étudiés pour optimiser le rafraîchissement du pied, au niveau des orteils, et ainsi, assure un équilibre thermique pendant la marche du piéton, et évidemment du skateboardeur. Attention, les chaussettes du patineur inline, doivent être différentes. Quant à la décoration symbolique de ce vêtement, il semblerait que nos voisins Teutons en connaissent un vague souvenir : Schön reise, wagen freunde !

La trans-board

Avec un model de freebord, classique, je travaille à un concept plus abouti pour un usage durable. Le problème de la freebord classique, la fonctionnalité première reste le downhill, la descente. Alors qu’avec un spinning amovible, il serait possible de trouver un intérêt pour utiliser la planche en longboard classique. Le risque serait alors de ne pas changer de mode d’évolution entre une descente inconnue et une côte trop grisante. (Oubliant alors le changement de mode d’avancée… l’accident serait direct.) Cependant, la polyvalence offrirai un nouveau terrain d’évolution aux freeboardeurs. Ensuite, la théma abordée avec Cyril de KOAD Surfboards, serait de concevoir un plateau avec du flx… Matériaux ? Carbone ? Bois aggloméré ? Bois massif ? Composite ? Du flex oui, pour trouver plus de souplesse dans le skate et pour donner plus d’amortissement entre la dureté du béton, et la tendresse des chaires. A condition de respecter la limitation de vitesse… A force de préconiser des conseils de prudence, j’ai l’impression de vendre de la Monsters à des Bernardins… Désolé pour le schéma. Avec ce type de planche à roulette, le choix des gommes serait multiple… Et avec un spining central ? Plus de flex pour le curving, mais un axe de couple au glissement centré sur les appuis du rideur. Autre voie de développement… Une roue de secours venue avec l’achat du kit neuf ? Ben à déjà la clé de la marque, reste à sauver le prochain slide. Et pour les chargeurs, insérer un silent bloc sur le support du spining comme sur le Descendeur de Rossignol pourrait apporter un peu de souple… du souple !

Pêle mêle

On trouvait un bob signé par Luc Lenoir, un pochoir Globe, de l’Isostar, des protèges poignets, du parfum Chanel, des Tr Vitesses de Salomon montés en slalom, des roues Kryptonics usées, un paquet d’OCB, du Cicatryl, un gourde de vélo Elite, une cravate, un crayon de papier de maçon, un sticker BeachBro, une combinaison de surf Billabong, une canette géante d’Heineken, un réveil, des forfaits de ski vignette, une canette d’energie drink, de l’huile moteur achetée au Maroc, une corde à sauter, des altères et une K7 d’INXS…

Le choix des gommes

Pour les roues en uréthanes, le topo est le suivant ; dureté et diamètre, avec un indice et une taille en millimètres. Perso j’ai fait un choix qui tend à être révisé avec le réchauffement climatique. En effet, plus on trouve des routes chaudes, plus la dureté doit s’abaisser au alentour de 78 ou 76 A, sinon, plus du tout d’adhérence… Et pour le diamètre, j’ai choisi des roues de petites tailles, plus maniable que les grandes… Je descend jusqu’à 65mm de diamètre…

Voici à quoi ressemble la roue lorsque son usure devient harmonieuse…

Maintenance matérielle

Pour rester en sécurité, il est impératif d’entretenir son matériel de manière suivie. Et plus vous vous engagez, plus il faudra suivre cette question. Ici je montre le démontage presque total, de mes Salomon FSK, excepté les roulements, où j’aurai pu démonter les flasques pour les graisser comme me le faisait remarquer David Lenoir.

Vous aurez ainsi tout intérêt à comprendre votre évolution en nettoyant tout simplement vos rollers, d’abord pour l’hygiène, il est important de garder des équipements propres, et ensuite pour comprendre votre pratique, toujours dans le but de progresser. Bon ride à tous !

Rupture d’une freebord alpha

Vous allez voir sur ces photos à quel point la mécanique d’un skat est à la fois rudimentaire mais totalement sophistiquée… Ici le ressort à mémoire de position contient un axe borgne sur lequel est fixé la roue centrale, axe qui à rompu sous le passage d’un gap ou d’une bordure… C’est une panne classique avec la freeboard…

J’aurai pu tenter de réparer le chassis avec un nouvel axe mais c’est en pièce détachée que j’ai échangé mes pièces contre un nouveau chassis du modèle G3 plus performant.