Le cul des caisses de bagnoles

Sacro-sainte automobile… Indispensable pour rejoindre la mer, la montagne, le park, les pays lointains… le supermarché ou l’agence d’intérim… Quel dépaysement ! Alors l’invention du stickers comme un art à part entière, ou un marquage de territoire, un panneau indicateur ou une publicité, un pense-bête, un peinture rupestre shamanique, le timbre fiscale de vignette, la tendance à ne pas suivre, la traçabilité des stations… Adrénaline : Coller ce célèbre sticker « j’aime ta femme » sur sa Lamborghini ? Mais pour le skate et le roller, faut-il faire de la route pour faire de la route ? En ce qui concerne le triste auteur de cette sinistre question, et bien, il préfère emporter un équipement, un seul, léger, moins de 10 kilo, pour évoluer ensuite dans l’environnement urbain de destination… Pour ma part, je crois que les trottinettes élec ont de beaux jours devant elles. « j’aime le nucléaire ?» Oui, c’est une extraordinaire invention. Mais faire de la route pour retrouver une route ne serait-il pas déjà une gageur ? Je vous abandonne à cette question, ma compagne à déjà la réponse.

Yoga sub aquatik

Alors une vision ouverte du yoga, mesdames messieurs, serait naturellement tel Boudha sous son arbre, de pratiquer le yoga dans des lieux de notre quotidien, où la vie normale se déroule à de multiples tâches ou fonctions. En effet, d’après votre humble serviteur-bloggeur, Hatta Yoga, Shrab Yoga, Yappa Yoga, Laughing Yoga, sont autant de style différents de cette discipline. Qui a dit que le yoga devait être chiant ? Yoga en sanskri signifie jonction, original de la culture indo-européene, ou proche orientale Brahmanique… Alors pour atteindre la plénitude du corps et de l’esprit, je me suis lesté de 2 kilos au dos afin de pouvoir profiter de l’apnée du fond de la fosse pour savourer un lieu hostile, oui hostile à la vie des humains, hormis Guillaume Néry, Jacques Mayol et quelques amis dauphins. Alors, évitons de nous stresser pour aller pratiquer et rejoindre le club de yoga plusieurs fois par semaine, imaginons la pratique Yoga partout, un peu comme un alcoolique ou un junkie défoncé à la drogue, la drogue de la vie pour vivre le yoga là où nous le pourrions… La gare d’eau de Besançon, le parc Micaud, la place Flore ou le square St Amour…

Le casque en cas de contest

Le casque n’est pour moi absolument pas indispensable à la sécurité en roller. C’est toute une philosophie de ne pas le porter. D’ailleurs, les statistiques le prouvent, les chutes et les traumatismes rencontrés ne concernent que les poignets, les coudes, les genoux. Alors quand certains imposent le port de cet accessoire, je dis oui, dans un cadre de compétition. Lorsqu’il s’agit d’une simple balade, vous allez vous greffer d’un accessoire supplémentaire, dicté par une association dont je tairais le nom, qui ne va au final que représenter un frein à l’épanouissement. Et même pire si on pousse le raisonnement, cela vous déresponsabilise, puisque vous suivez une injonction dont vous ne jugez peut être pas indispensable en votre âme et conscience, de porter cette protection. Ainsi, on retrouve plus d’accidents du poignet parce que les personnes se contentent du casque. Alors le prosélytisme de cette association est il infondé ? je pense que oui, le port du casque oui, dans le cadre d’une compétition !

B U K O L I K

Vidéo affligeante de petits « goodies » sympa, du célèbre et confidentiel, ou l’inverse, confidentiel et célèbre « B U K O L I C festival » ou votre humble serviteur note un lien important, entre le funiculaire Suisse, et celui de Besançon… sans oublier le tramway Lausannois qui a trouvé son tunnel de métro… Alors trois lieux où la descente urbaine s’offre d’extraordinaire moments inutiles, tout comme en ski ou en surf, (au dires supposés de certains footballeurs…) Donc, une route, des descentes, des remontes pentes, Bregille et ces résidences, les sanatoriums, avec les riverains qui aimeraient prendre ce funiculaire, et les skateboardeurs et patineurs qui pourront tranquillement aller en ville jusqu’à la dernière remontée du soir… Mais bon, ce ne sera plus freedownhill et là, comme ne me l’avait pas dis un ami Lausannois «  je saurai freiner comme un Valaisan quand j’arrêterai de remonter la pente à pied. » Le clic-clac de la box… précision horlogère fatale ; cette pastille vidéo n’est pas filmée au MAD.

Boloss du blog ?

Et bien, mes chers followers et followeuses, le travail de blogging est teinté d’écran à la luminosité variable à partir desquels votre humble serviteur, réalise chaque mois un sujet précis (depuis une année lumière) sur notre univers de free-ride, (essentiellement urbain parce que l’on vit en ville essentiellement…mais pas que…) Les rouages de cette perf’ sont visibles ici, avec un éventail de documentations et d’analyses chargée d’acquisitions médias qui rencontrent toujours la compréhension des personnes sollicités pour un petit cliché par-ci que je remercie ici, sans vous… Et toujours n’oublions pas le style unique de freedownhill, mode rando, comme le ski, comme le stand up paddle, l’effort pour atteindre la glisse…

Traçabilité matériel glisse urbaine

Premier skate en 1988 – détruit

Rollerblade inline step-in 1999 – Roulable collector

Tr Vitesse Salomon 2001 – Délicatement roulable

Coyote Rollerblade off road 2001 – Gourmandisement vendu

Rossignol descendeur 4 roues 2001 – Vendu état moyen blasé

Roces Sir Isaac 2002 – Etat neuf Meix Mesy tout droit

FSK Crossmax 2002 – Rincé usé démonté recyclé

FSK Deemax 2005 – Parfait état de roulage rando pépère

Freeboard alpha 2005 – Parfait état de roulage pépèrando

Powerslide Cell II 2006 – Usé bousillé essoré déchiqueté

Short board en 2008 – état moyen roulable

Rollerblade Twister 80 – Revendu état super maintien

Soit un bon paquet de roues… et des contacts au sol… A raison d’une sortie mensuelle en moyenne depuis 20 ans, avec en moyenne 7 à 12 km parcourus (voyons 10km, ce que je pense être assez peu, estimation par défaut, compte tenu de mon tempérament en ROLLER durant ces années… ) avec les très grandes sorties de mes débuts boulimique de roller, et les sorties régulière encore aujourd’hui quasi hebdomadaires, cela donne en 20 ans de ride urbain une approximation de 2400 km parcourus en roller ou freeboard… Ce qui doit être largement sous estimé. Avec 12 paires différentes possédée, plus quelques prêts, tests, essais matériels… sans compter le vélo ! ! Jamais d’accident responsable à un tiers… Que des petites blessures légères ! Un peu partout en Europe : Du goudron à perte de vue et un dédale urbain peuplé de femme splendides toutes plus soignées les unes que les autres dans leur styles… Ah, une fontaine potable… De Stockholm à Casablanca, Innsbrück à Brighton… Besançon, centre du monde de l’univers de l’espace galactique de l’Europe quadrimensionnelle ?

Rollerblade step in 1999/2019

20 ans, à pratiquer le roller sur tout les terrains, même les tout terrains d’ailleurs… 20 ans à écumer les boulevards et les rues, 20 ans à balancer mes grands bras de droite et de gauche afin de mieux trouver l’équilibre… Ces rollers ont été ma première paire, est sont aujourd’hui rincés d’avoir été mis en oeuvre avec autant de gourmandise, sans crainte de chuter, à une époque ou le roller était en pleine embellie puis en apogée et en déclin, allez savoir pourquoi…

Les cheveux des filles…

La vie urbaine et le Ride des pierres artificielles de nos trottoirs, nos rues, avenues, boulevards… (et non pas les rides de la peau…) Autant d’espace où nous pouvons trouver la présence permanente des personnes qui peuplent la cité. Et hasard de la technologie, la mécanique des roulements d’inline recueille très régulièrement, et presque à chaque sortie, des cheveux longs qui se coincent dans l’axe des roues du patin… Mademoiselle, pourtant élégante, gracieuse et féminine, inébranlable, (c’est la cas de le dire), sur sa démarche épanouie déterminée, semble perdre des cheveux… La vidéo ci-dessous et un exemple de rangement de caisse à outil, utile pour le nettoyage du roller ou les amas capillaires sont très régulièrement retrouvés coincés dans l’axe des roues. En gros, si l’envoûtement érotique des femmes est si puissant, c’est parce que les roller recueillent les cheveux cassant, pointes fourchues, mèches abimées… Mais pourtant, Question : Comment perdez-vous vos cheveux en ville mesdames ? La frénésie de la carte-bleue, peut être…

Mémo secours

L’évolution de la glisse urbain implique des précautions anticipatoires d’acceptation des chocs, mais, en cas de traumatisme sérieux, une seule chose compte, la prise en charge du blessé, et l’appel des secours.

Les services de croix rouge et de sécurité civile connaissent les méthodes et techniques de prise en charge des blessures en fonction de leur gravité, en lien avec les secours, ils seront capablent de vous former au geste à tenir.

Si vous ridez seul, essayez d’emporter un smartphone, un aliment type chewing-gum, et des kleenex… (pour certain des préservatifs aussi…)

Composer le 12, ou le 112…

Là larme

Un truc avec le skateboard américain, c’est cette propension à aller repousser ses limites, au delà du raisonnable, un peu comme si on te braquait un flingue sur la tempe en te disant « maintenant tu saute ou on tire »… Parce que là bas, les américains ont le port d’arme, qui n’existe pas en France de manière aussi culturellement répendue. Donc peut être un lien, dans cette culture du « death or glory » comme le chante certain groupe de rock Américain… Moi personnellement je reste un doux poète de la glisse, à côté de ce dont ces barjos sont capables de faire…

Et oui, le skate peut être une arme que tu retourne contre toi…

Paris by night free-board session

25 avril 2019 22h30

J’étais tranquillement au plumard en train de me dire qu’une session à venir allait être prévue, en me reposant le soir après m’être couché tôt avec une tisane, en étant concentré sur le repos préparatoire vital à une bonne sécurité en free-ride en free-board en free-downhill, lorsque ne trouvant pas le sommeil, je me dis alors ; Go ! Je saisi la planche, et enfile des vêtements clairs (chazal) pour rester visible des voitures. Atteignant le spot, je constate immédiatement un goudron de mauvaise qualité, gage ; dégage. Non, je remonte la pente de cette rue en sens unique et je trouve quelques fêtards perdus entre club et free-party, cloppant sur les terrasses de la rue de la montagne Sainte Geneviève. Arrivé sous le Panthéon, dans mon pantalon, je bifurque retravailler mes classiques sur le trottoir du lycée Henry IV pour atteindre mon fantasme tant convoité depuis des centaines de mois… (Aucun rapport avec Sigmund Freud et le Moi). Lorsque j’accède rue Clou-Visse, je fous ma planche au sol avec un rendement de traineau sur l’herbe. Bon, alors je monte sur la planche du pied gauche ou droit ? Question cruciale. Bon, la pente m’emmène doucement vers l’acquisition d’équilibre, je ne suis pas trop dans ma board. J’ai du mal de trouver le fluide du mouvement. Après une ou deux tentatives, les bus et voitures cassent mon rythme de balancement, mais l’envie étant plus forte, je pars à l’anglaise et mauvaise idée, je me retrouve coincé dans le flux des caisses montant à l’opposé avec un série d’auto dans le dos. Passage obscur au dessus de Cardinal Lemoine, je prend la bande de parking, à gauche, les voitures passent, je pose les mains en ouverture de centre de gravité, j’oublie de respirer dans l’accès d’adrénaline et temporise visuellement la trajectoire pour slalomer dans la circulation, feu vert, j’enchaîne sur le tout droit dans la pente, et c’est un patchwork de goudron tous plus changeant les uns que les autres, c’est tendu, je ne descend ni vers Jussieu, ni le paradis latin, et ralenti ma board sur un tarmac ultra rugueux comme à la maison, de la citadelle, de Besançon, de Vauban, du roi, de la guillotine. Le reste de la nuit, je retourne me poser devant le fronton de polytechnique et songe à slider en silence encore dans la fluidité, entre le balai des taxis qui déposent des files de filles dans une résidence sous le violon dingue ou un américain de donne un sentiment Alaskien, tout comme un membre de la section d’assault est posé au carrefour sous Descartes pour le zen. Je descend jusqu’au commissariat en étant flashé par une escorte trentenaire en legging et maquillage bijoux autocollant de contour des yeux, brusching en crinière de Schweppes, elle me taxe d’une sensualité dont elle garde le secret puisque plus jeune que moi, elle marche tout droit vers la lanterne, le cinq étoile. Je reprend mon planchon, et au magie de l’amélioration qualité, je flippe mon plateau trucks intérieur, ça donne plus de couple au lancé. En rentrant je remonte St Denis, seulement trois boutique de massage à péripatéticiennes ouvertes, mais toujours les anciens rideaux moches, Rosa m’invite à rentrer, je refuse, pâle budget, Paris la nuit…

L’usure des roues d’inline

Avec les roues de roller, une chose est largement connue dans le milieu des patineurs, c’est l’affinage de l’uréthane NH2-COOR (R étant un radical carboné) qui s’avère parfois étonnant après plusieurs années, 4 à 6 ans, ou plus, sans rouler. Après une immobilisation de cet ordre sur mes patins, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir une roue dégradée dont les propriétés de dureté et de forme s’effritaient au roulement. Alors, en plus la roue de patin, donne parfois des formes particulières avec la manière dont nous l’usons, comme l’illustration visible ici. De surcroît, l’opportunité de recycler ce donuts particulièrement fin, issu d’une roue d’Hypergrip d84/diam80, permet d’offir à ma compagne un bracelet d’une matière unique, une orfèvrerie d’art premier issue des matériaux de la glisse.

Ethik, déontologie, responsabilité, évo

Le code, l’honneur d’une action sportive en 2019 est elle encore dans la compétition pure ? Dans la technologie d’un moteur auto spécifique à explosion et réaction exothermique ? Dans la création d’un sport spectacle télévisuel support de pub à organisme de crédit à taux zéro ? Dans l’ultime professionnalisation d’une capacité physique et mentale uniquement destinée à l’action d’une performance inexistante au quotidien de la société ? Tant de questions sans réponse…

The rule, the honnor of a sportivity involvement in the year 2019 is still again in a full winning race against the others ? Is it the science of a fuel burning management into a big block engine increasing warmness ? Is it the broadcasting of entertainment for a tired home audience feed with flashes and hypno for advertising businness of shopping delivery ? Is it the last job for a physical capacity only living for a pleasure of champions celebration in un- productive duties ? So much asking without future…

Le congourt

le prix de la meilleur taule free-ride…

Edmond Huot de Goncourt, né à Nancy en 1822 fût peintre avec son frère puis écrivain naturaliste (Madame Gervaisais en 1869) évoluant vers l’impressionnisme raffiné (autrement dit ; il vieillissait confortablement) il créa avec un cercle d’amis, dans son hôtel d’Anteuil, l’académie Goncourt en 1896. Académie qui décerne depuis 1903 le prix le plus recherché des jeunes écrivains. Prix décerné après un gueuleton, un banquet, une grosse bouffe, un bon restaurant, chez Drouant à Paris. Coïncidence amusante, le Touring Club de France, crée en 1890 en banlieue Parisienne, promouvait, promotionnait, le vélocipède. Alors, jadis, les sanatoriums jalonnant les villas et résidences de notre beau pays comme autant de lieu ombragés et aérés idéaux pour la lecture et le repos après quelques kilomètres de randonnée cycliste. Votre bloggueur fidèle, supposerait ici que le Goncourt serait en fait un avertissement aux impétueux et euphoriques sportifs cinématiques capables de prouesses mais aussi de gadin mémorable. En est la preuve, l’attribution du prix après un dîner savoureux d’hospitalité, un peu comme un plateau repas dans une chambre en traumatologie. (bisou mamie Denise !) D’où cette erreur voulue, le Con-Gourt. J’en ai moi-même quelques exemplaire de portes (chute) prisent particulièrement vite, en roller, ski, ou surtout en surf d’ailleurs où est la porte pour aller surfer ?

(Citation de monsieur Fréderic Begbeider datant de printemps 2002 sur une émission du cable perdue tard dans la nuit ou les littéraires sont souvent seuls…)

Le flip de board

Un détail qui est né avec le free-downhill, la descente régulière en board, c’est lors de la remonte pente à pied, bon ça c’est pas un scoop, mais pendant que je promène ma planche vers l’accès à la descente, j’ai le loisir de la manipuler, pour la faire tourner, et la faire flipper !

Cela occasionne un échauffement des poignets et des membres supérieure, des mimines… mimines, qui étant mobilisée, restent alertes pour tout éventuel contact au sol, et donc chaudes afin de ne pas avoir un système musculaire trop fragile en cas de : Je me rate et je m’éclate sur le goudron… Non, un contact au sol ne dois pas être forcément une blessure avec le bon ECHAUFFEMENT… Discrètoss…

free ride et politik

Vraisemblablement, l’action de glisse n’a rien à voir avec le monde politique. D’ailleurs, plutôt que verser dans des sempiternelles querelles d’égaux ou conflits d’intérêts dans des joutes verbales qui n’en finissent jamais parce que tout le monde à raison vu de sa fenêtre, STOP : retour aux responsabilités et prendre en compte l’impact des nouvelles technos sur les gestions de collectivités devrait nous conduire à gérer l’administration publique de manière différentes : Hypothétiquement, une CORTANA virtuelle pourrait prendre la place des élus de chaque mandat, grâce au déploiement du STIG par exemple… Reste ensuite à considérer nos vies respectives dans l’amélioration de la qualité des gestions patrimoniales individuelles privées, publiques, puis professionnelles privées, puis encore une fois publiques… D’ailleurs comme le disait Thierry Donard dans la nuit de la glisse 1998 ; « les skateurs, ont envahis le cœur des villes, et les politiciens ne sont pas près de contrôler leurs mouvements… » Et pour le vote, allons y en roller, ou en skate ?

Salut les Followeuses et Followeurs

Aujourd’hui, petit topo pourri parce que le roller sans musique est plus réceptif au tempo des villes, ensuite parce qu’en montagne, quand on monte on redescend aussi, et enfin les vagues c’est surpuissant. Attention… traduction : Pouvoir écouter les piétonnes qui s’expriment envers les gars qui roulent comme moi, il faut savoir freiner. Penser à profiter du paysage et d’une bonne voie de descente praticable, et pour les vagues, regarder les prévisions de houle ne suffit pas toujours, s’arrêter au bar des pêcheurs est aussi important, afin d’éviter de couler… (au fond d’un pastis ?) Comme ça se dit sur Riding-Zone : Good glisse everybody !

Vous l’aurez compris, ce blog ne se prend pas au sérieux… Votre humble serviteur serait il bourré lorsqu’il pond ce genre d’article sur son blog ? Et bien la réponse vous appartiendra… En tout cas, les élans narratifs dont je suis ici l’objet n’ont d’égal que le plaisir incommensurable pris lors de sessions de surf, de skate, de ski… Mais trêves de jérémiades, il faut déjà retourner au travail après cette parenthèse enchantée d’un paradis de glisse dont vous seul avez eu le secret, à moins que vous n’ayez vécu une galère sans borne dont vous ne voulez même pas vous souvenir. Le monde de la glisse est impénétrable.

Le comparo des shops Bisontins

Petit aperçu des disponibilités en inline dans les magasins deBesack… Slide Box, Inter Sport 2000 et Décathlon… Une offre assez orientée Fitness dans ces trois commerces, avec des modèles polyvalents plutôt adaptés à la rando ou la balade…

Une offre pointue et stylée chez Slide, un choix accès de gamme qualité-prix hors pair chez Déchathlon, et des perspectives de perfo en rendement confort- speed très valables chez Intersport 2000…

Traît d’union montagne / océan

Besançon est-elle La capitale du freedownhill ? Pourquoi ai-je choisi ce pseudo en 2001 inspiré par les chewings gum Freedents et le site Inlinedownhill.com ? Est-ce que le meilleur spot de free-ride downhill Français serait la citadelle de Besançon ? Pourquoi la psychologie des citadins représente-t-elle un vrai danger tout comme les requins ou les avalanches ? Est-ce que je vis au cœur de la cité ou est-ce un vrai amusement de pratiquer cette glisse ? La valeur de dépassement de soi dans la glisse sans écraser son adversaire sauvera-t-elle le monde ?

Autant de questions sans réponses…

Donc oui, les sports de glisse urbaine sont bel et bien un véritable trait d’union entre les traditionnels sports de surf océanique et de ski montagnard…

Carnet de sortie côte de Passavant

Départ vers 7h15 silencieusement pour ne pas perturber maman et papa ce samedi matin, Tr vitesse d’époque pour protège-poignets achetés deux euros au vide grenier de Bouclans… Pile synchrone avec Patrice qui récolte du sorgho vert pour le fourrage de son bétail, gilet jaune pour faire genre « transjurassienne » et malheureusement le tracteur John Deere 7840 passe trop vite avec le combiné de ramassage-fauche pour parvenir à le catcher au pied de la côte… En revanche il laisse filer quelques feuilles éparses qui provoquent le slip immédiat entre le bitume et mes roues gommes Salomon… Vigilance, je monte à l’échauffement en mimant des canards par des rotations complètes sur moi même à gauche, puis à droite, à droite, puis à gauche. J’attaque trop fort comme d’habitude, alors je temporise, tourne sur moi même et laisse rouler les quelques bagnoles vers ces bagnes respectifs. Balancement des bras de rigueur, souffle façon clapping de stade de foot, bien posé au fond du temps. La route est neuve ! Goudron lisse qui sera glissant cet hiver pour la chiante jurassienne, attention à la viabilité hivernale. Le ciel est un peu couvert, et un peu dégagé, l’air est encore chaud, la lumière laiteuse procure une douce sensation d’énergie sereine. Mes rotations se fluidifient au fur et à mesure que les centaines de mètres croissent, j’ai de l’inertie… Couscous Flangebouche, recta bamboule. Mais déjà la descente, les sensations minimes de dureté musculaire aux jambes n’entament pas ma capacité endurante, je respire une minute et attaque la pente sur la voie de gauche, « à l’anglaise » faisant face au voiture montante. J’ouvre le centre de gravité tenant mes mains de manière à anticiper le contact au sol, style feuille volante. Je resserre un chouiat la godille dans la largeur de circulation, ça grip au petit oignon ! Même sur la ligne blanche. La tête dans le rétro viseur, je scrute mon arrière garde pour souffler tout de même un peu en passant voie de droite, à la cinquantaine de mètre, ce qui me permet de laisser passer les automobilistes qui n’aperçoivent pas mon patin dans le bas coté non stabilisé. J’ai un bon végas à droite, un peu court à gauche, je vais le retravailler ; ça pourrait être une blague d’économiste sur les jeux de hasard. Je gère en intérieur et en extérieur sur le glissement du patin pour aller vers le synchrone, tout va bien, je tâte même l’ordre d’amorce de glissement des roues sur mon patin : Survireur ou sousvireur ; autrement dit j’amorce la glisse du pied par la roue avant ou la roue arrière, c’est ce genre de détail que je kiffe. Et là, la descente rejoint une deuxième route, je reprend la largeur pour modérer la conductrice d’un 4×4… Certes je suis très lent pour une voiture, peut être 20 km/h au compteur maxi. C’est certain, si une audi etron arrive à 190 kilomètre-heure, je n’ai pas le temps de l’entendre, elle me tue. Enfin bref, trêve d’excès de vitesse, son radar de collision prendra sûrement la main sur le pilote. Et pour finir ce moment de glisse urbaine pro-routière, décidant de prendre l’échappatoire pour libérer la route une dernière fois à une C6 noir qui aurait pu être conduite par Nicolas Sarkozy après son passage au tribunal, je gesticule ridiculement sur le bas coté en roulant sur la pelouse chaotique bardée de cailloux, heureusement sans tomber.

Je peux pas j’ai piscine

Comme le disait Laurent Baffie

La piscine, rien de plus autoritaire d’un bassin Olympique… Pas de marée cependant, mais quelques horaires dédiés aux différentes natations… Synchronisée, apnée, athlétique, plongeons, water polo, sauvetage aquatique, aqua gym, palme gant natatoir, lunettes de plongée, endurance, sprint, canard, fluidité de l’élément liquide… L’élément maternel du placenta utérin, l’eau paternelle du bain de bébé, la pluie tombée du ciel… Aussi loin que je me souvienne, une pluie sans grand vent fait parfois tomber les vagues… Pas de vague, pas de surf. Attention, l’océan, la mer, obéissent au marée ! Indispensable à tout surfeur, un bon entrainement de nage…

L’ambidextrie

Cette notion est fondamentale pour pratiquer la glisse. Vous avez tout intérêt à oublier votre pied droit et votre pied gauche pour simplement prendre votre pied ! En roller comme en planche, l’équilibre ne nécessite pas de dissymétrie ou rarement. Ainsi, en oubliant cette latéralité, vous pourrez évoluer en toute sécurité pour mieux réagir quelque soit votre coté d’appui. Ni la droite, ni la gauche, c’est comme en politique avec Macron, sauf que cette fois cela sert vraiment à quelque chose, ne m’en voulez pas, je plaisante. D’où l’importance de pouvoir slider à droite, et à gauche, quelque soit votre vision de préférence. Et c’est même un pied certain de se recentrer pour trouver cet équilibre de balance, entre les deux cotés ambidextre de votre corps. Je crois même que cela stimule considérablement les dopamines, comme c’est écrit plus loin dans ce fichu blog…

Le capital jeunesse

Le schéma du temps illustre comment nous pouvons influencer notre ADN à partir des pratiques sportives que nous engageons. Vraisemblablement, lorsque l’on préserve une hygiène de vie saine, on à en toute conscience une impacte positive sur notre organisme, et donc on influence directement notre ADN et notre patrimoine génétique. D’autant plus lorsque les sécrétions de dopamines et endorphines génèrent un état de bien être qui est encore plus bénéfique pour le corps, l’âme et l’esprit. Et donc cette synergie se met en place favorablement pour préserver le capital jeunesse et donc mieux vieillir, grâce à la glisse.

Fitness rigolade

Un petit clip défoulade d’exercices basiques et simples que je pratique pour garantir mon équilibre en toute sécurité… (la musculation du rollerskate ?) Les mouvements suivants sont destinés à maintenir une souplesse et une force suffisante pour rester en confiance, lors de l’acceptation d’un déséquilibre. Il s’agit de sécurité active, avec l’adéquation entre ma capacité à trouver le sol et l’occurrence de ce que l’on nomme une « chute »… La liaison au sol vous sera maintenue avec beaucoup d’autres exercices que vous pourrez explorer par vous même… ou qui ont déjà été filmés dans d’autres de mes vidéos… Lorsque je regarde cette vid-éo, je pense toujours au port de la tête, comme Geneviève de Fontenay le rappellait à ses miss !

music courtuaesy used from the Renegades, Brass Construction I don’t know who

L’histoire de la glisse

Au travers les âges, je suppose que l’hominidé ne glissait jamais. Il prenait en main des silex, des fruits et des légumes, taillait les charognes pour dévorer la viande, et peut être qu’avec ce régime alimentaire, il ne glissait pas non plus ni aux chiottes, ni lors de sa reproduction. Bref, c’était la préhistoire. En Egypte, subsiste un hiéroglyphe prodigieux qui montre un dieux ailé affublé de plumes, ce qui signifierait que pharaon aurait sans doute projeté d’emblée, le monde de la glisse à sa vocation ultime, le vol d’un l’être humain. Planer du sommet d’une pyramide avec des ailes d’osier et de plume ? Pourquoi ne pas le supposer ? On ne sait. Alors, depuis les égyptiens, tout proche de l’Europe, tout était dit il y a environ dix mille ans. Ensuite, l’invention de la roue, les Perses, les Grecs, les Romains, Léonard de Vinci. Encore les représentations de la glisse aérienne, avec des schémas techniques anticipatoires, alors que dans le même temps, les techniques de télémark et traineaux ou les embarcations maritimes voir même les charrues, glissaient déjà dans le fondement de l’humanité, ses voyages, son agriculture. Nonobstant, la royauté et les couloirs parquetés de la galerie des Glaces (et non pas des miroirs), eurent, d’après mes balbutiantes investigations, la découverte du patin à roulette et sa grisante propulsion, qui j’en convient, mélange à chaque petit dérapage intempestif, grâce et ridicule, ou bien, audace et étonnement. Ce n’est qu’au début du 20eme siècle, que les matériaux et les gains de croissance industrielle ont généré l’émergence de ce mouvement surnaturel pour l’homo-sapiens : Le ski, le surf, la charette proto-skateboard. Omniprésente, la glisse nous assaille. La carte de crédit dans le portefeuille, la main sur le volant, la plume sur la feuille de papier. Les femmes et les hommes ne purent se séparer ce cette émotion sensationnelle jusqu’à ma naissance, en 1975…

Web réalité

La vidéo, liée plus haut, à été réalisée à l’automne 2014 alors que TF1 ou NRJ12 cherchait des candidats pour créer du divertissement. J’envisageais ma participation parce qu’après de multiples efforts individuel en littérature, ce qui est normal car on écrit souvent seul, je croyais pouvoir apporter quelque chose à ce type d’émission. Aussi, avec mon passé en Free-ride, j’avais déjà un website « freiheit » personnel en ligne qui communiquait sur mes activités, mais un solitaire sans budget dédié, entièrement à son évolution, ne pourra jamais être aussi bon qu’un véritable pro. Ce qui est mon cas ? Ce n’est pas la question. Alors, avec ce message vidéo, j’espère que la télé-réalité ne sera plus jamais un enfermement psychiatric, et que la valeur de mes produits multimédias suffira à mettre en lumière mon train de vie fantôme…Ah, j’espère aussi que le player vidéo ne pausera pas trop en streaming, sinon, il faut que je recontacte mon hébergeur, et, si vous avez d’autres suggestions n’hésitez pas à me contacter pour le service qualité ! Le son est pourri, pardon, mais cela reste un document de franchise et d’honnêteté, pour une candidature à la téléréalité…

Les vieux skis de l’époque

Quelques clichés pour montrer ce qu’étaient les skis du siècle précédent… Des télémarks, destinés à se déplacer malgré les fortes hauteurs d’enneigement des régions du Haut-Doubs… On a toujours tendance à oublier d’où venait cet outil de déplacement initial…

Les parcours plats devaient être simples, cependant, les descentes représentaient pour l’époque des défis spécifiques, comme en Suisse lors du pacte d’Uri, Schwyz et Unterwald en 1291, sans doute, des skis pouvaient être engagés pour relier Yverdon à Lausanne !

Si nous gardons les skis, accrochés ici où là, pour décorer nos murs, il reste bien difficile d’imaginer quelles pistes étaient utilisées pour ce type de matériels ? Peut être dans les récits de Bernard Clavel, persiste-t-il quelques indices écrits de la manière dont les hommes utilisaient ces planches…

Parce que le ski est une chose, mais la neige, vivante, devait contribuer à la manière dont les pistes étaient parcourues. Alors, j’imagine que la meilleur trace possible, était encore de filer droit dans la fraîche, et d’éviter les congères ! Sans être psychorigide, d’un souvenir de chemin dissimulé par l’hiver…

Rollerblade Twister 80

Un patin d’une qualité de fabrication hors-pair ! Robustesse parfaite, conception ultra efficace, rendement des roulements d’usine optimal, design masculin, chausson ultra confort, seul bémol le poids : 1 Kg 813 le patin, ça fait plus de trois kilos dans les baskets, c’est assez pesant. En montage de roue, ça donne 80mm de diam et 80A en densité, pour moi c’est optimal comme compromis pour de la grosse rando en up&down dans cette bonne vieille ville de Besançon.

Avec un détail sur le shock eraser dont je ne sais vraiment comment décrire ici la sensation, car cela rejoint la physiologie de l’effort du patineur. Enfin, disons que lorsque je changeais de plan, avec une impact faible, par exemple une bordure, une réaction ostéopathique créeait en moi un courant électrique particulier sur une partie charnue de mon anatomie destinée à la respiration digestive. Un style de choc électrique. Bref, je ne vous cache rien.

Enfin, un autre détail, concerne la pesée des patins, avec une disparité de plusieurs centièmes de grammes entre les deux pieds, mais surtout au lieu de noter une diminution du poids après le premier roulage, (dû à l’usure de la gomme) la balance de précision de la poste indiquait une prise de poids de l’ordre du centième de gramme. Sueur dans le chausson ? Pluie fine sur la coque ? Poussières tu redeviendra foussière…

TEk No Lo GiA !

Les chaussettes de l’archi-duchesse sont elles sèches archi-sèches chez Sosh ? Certes, je ne donne pas dans l’exploit interstellaire, cependant, ma prise de risque sur la route comporte parfaitement la conscience de l’impact dure. Alors, n’étant pas professionnel, et pourtant, veillant évidemment à ne pas perdre mon équilibre, j’attache un point d’importance aux détails ; All is lost ? Avec Robert Redford ! Alors bon, pour un sportif qui engage un déplacement, à moins de marcher sur la tête avec les mains, ou ramper sur les coudes du dos ou du ventre, il semble que les pieds soient le seul moyen d’avancer efficacement. Donc, vous pourrez noter à travers cet article, que les chaussettes Independant proposent une conception unique dans l’univers des moufles ;

Alors, cet ouvrage tissé magnifiquement comporte un assemblage de tissus étudiés pour optimiser le rafraîchissement du pied, au niveau des orteils, et ainsi, assure un équilibre thermique pendant la marche du piéton, et évidemment du skateboardeur. Attention, les chaussettes du patineur inline, doivent être différentes. Quant à la décoration symbolique de ce vêtement, il semblerait que nos voisins Teutons en connaissent un vague souvenir : Schön reise, wagen freunde !

La vague statique de la Malate

Lorsque le Doubs atteint une côte d’alerte en terme d’inondation, les multiples barrages de la vallée laissent oublier le labeur qu’à dû être l’aménagement à la navigation du Doubs, entre Lyon et Strasbourg. Alors pour un Bisontin, la difficulté réside, dans le retour sur la rive, tant les bords du fleuve demeurent sauvages. En effet, une mise à l’eau est toujours possible à proximité du pont piéton de ce spot de surf statique, rive droite. Cependant, une fois dans le bouillon, des remous équipés de poteaux pour le slalom kayak, le courant vous emporte inexorablement vers l’aval… Impossible de le remonter avec un surf. Mais pour ma part, j’ai noté un phénomène thermodynamique particulier en accédant à la rive gauche aménagée par l’écluse, (en raison de la présence d’escaliers) oui, un faible courant remonte lentement, vers l’écluse, en sens inverse de l’écoulement de l’eau. Hypothétiquement dû à l’échauffement mesurable en milli-degrés du même bouillon, absent sur le chenal de navigation. En résumé :

Gros bouillon = agitation des particules en suspension dans l’eau = activité exothermique = augmentation de la température = dilatation thermique à la sortie du bouillon par répartition = mouvement thermodynamique sur l’écluse = courant ascendant vers l’écluse par échange calorigène dans l’eau immobile

Je l’ai constaté personnellement en bodysurf. J’ai aussi constaté que les germes et la flore totale de la rivière peut conduire à une diligence intestinale impromptue, soyez vigilants.

Ethique comptable et bon sens paysan

Trèves de galéjades, ici ce petit tableau comparatif démontre à quel point la formule 1 est éloignée du réel, éloignée des responsabilités environnementale, éloignée du quotidien, éloignée d’une éthique sportive noble… Pratiquant la glisse en véritable autodidacte, amateur éclairé, je ne saurai trouver dans cette pratique, pardon Charles Leclerc, un quelconque sens des responsabilités. Des sommes colossales d’argent « magique », des masses populaires évidées de tout raisonnement dans le rôle de spectateur, le culte de la jeunesse invariablement magnifié par des héros qui n’ont rien fait d’autre de leur vie et qui tentent de nous donner des leçons… Bref, rien de rien ne me plait dans ces pratiques sportives de très haut niveau dont le seul but serait d’être une élite inatteignable pour le commun des mortels… Pourquoi en faire des dieux vivants si c’est pour cultiver le sens de la feignantise avec des moteurs fantastiques ? Perso je remonte les pentes à pied et c’est très bien comme cela. J’ai des valeurs, moi.

La trans-board

Avec un model de freebord, classique, je travaille à un concept plus abouti pour un usage durable. Le problème de la freebord classique, la fonctionnalité première reste le downhill, la descente. Alors qu’avec un spinning amovible, il serait possible de trouver un intérêt pour utiliser la planche en longboard classique. Le risque serait alors de ne pas changer de mode d’évolution entre une descente inconnue et une côte trop grisante. (Oubliant alors le changement de mode d’avancée… l’accident serait direct.) Cependant, la polyvalence offrirai un nouveau terrain d’évolution aux freeboardeurs. Ensuite, la théma abordée avec Cyril de KOAD Surfboards, serait de concevoir un plateau avec du flx… Matériaux ? Carbone ? Bois aggloméré ? Bois massif ? Composite ? Du flex oui, pour trouver plus de souplesse dans le skate et pour donner plus d’amortissement entre la dureté du béton, et la tendresse des chaires. A condition de respecter la limitation de vitesse… A force de préconiser des conseils de prudence, j’ai l’impression de vendre de la Monsters à des Bernardins… Désolé pour le schéma. Avec ce type de planche à roulette, le choix des gommes serait multiple… Et avec un spining central ? Plus de flex pour le curving, mais un axe de couple au glissement centré sur les appuis du rideur. Autre voie de développement… Une roue de secours venue avec l’achat du kit neuf ? Ben à déjà la clé de la marque, reste à sauver le prochain slide. Et pour les chargeurs, insérer un silent bloc sur le support du spining comme sur le Descendeur de Rossignol pourrait apporter un peu de souple… du souple !

Les festoches familiaux de la fin d’année…

Enfin le moment traditionnel est arrivé de retrouver les parents, les cousins, la grand mère, enfin tout le monde autour de cette célébration catho qui voudrait que Noël se fête le 25 décembre… Pour moi un Noël sans neige c’est moche. Et puis, des cadeaux que je ne désire pas, puisqu’avec mes parents c’est noël toute l’année… Alors où est madame Noël ? Ensuite arrive la beuverie du nouvel an, et ce changement symbolique de chiffre sans que rien ne change dans la vie, à si oui, un nouvel agenda 2019… Bon, vous l’aurez compris, moi je pense que la tradition de partage aura encore du mal à effacer les conflits, et que tout le monde se drapera dans un sourire de circonstance histoire de croire que tout va bien. Oui, pour moi tout va bien… Une belle année de free-ride urbain, et aucune chute grave à signaler, merci Père Noël !

L’eau (Acqua-biking)

L’aqua-biking, je me demande pourquoi les inventeurs de cette méthode n’ont pas précisés qu’il s’agissait d’un appareil destiné aux personnes en situation de convalescence ou de handicap. En effet, ayant participé à plusieurs sessions d’entraînement au sauvetage aquatique, j’ai toujours en tête cette citation de Franck Esposito ou peut être Alain Bernard « Il n’y a rien de plus autoritaire qu’un bassin olympique »… Pour ma part, lorsque je retrouve cet échantillon désuet d’océan, je prend en compte quelques points de discipline comme :

  • Ne pas s’accrocher au bout des lignes d’eaux pour discuter mais nager le demi tour sans toucher le mur c’est encore mieux…
  • Faire des canards à la demi longueur pour se remémorer ce qu’est une vague dans la che-tron…
  • Chercher le S U R F maximum d’amplitude dans ces gestes tout en accentuant sa respiration…
  • Plonger sous l’eau, en apnée évidemment, pour se rappeler que rester en surface n’est qu’une évolution en deux dimensions…
  • Sortir du bassin pour récupérer et s’hydrater tout en évitant de porter des palmes ou des gants ou un casque musical parce que le bruit de l’eau implique de pouvoir communiquer pour se comprendre…
  • Faire du statique en essayant de réajuster ces lunettes ou la planche, comprendre la fluidité de son corps…
  • Faire appel aux maîtres nageurs pour se renseigner des conditions…

Ces détails d’attitude peuvent permettre, à mon sens, de garder à l’esprit ce qu’est l’élément liquide sauvage, les plages gorgées d’iodes et la mer dangereuse, si lointaine de notre Besançon fortifié : Franchement, l’aqua-biking c’est un pédalo qui à coulé !

Downhill made easy

Et bien voici quelques images de web-réalité de la rue des Cras à Besançon… Extraits d’une session de free-downhill (traduction : descente libre après remontée à l’énergie humaine) ( grosse rando) Tranquille dans le flux de la circulation, évitant de gêner les véhicules, ainsi que les touristes, il y a suffisamment de place pour évoluer en toute confiance. Certes, d’aucun reprochent l’absence de casque, cependant, je réfute la sécurité passive qui déresponsabilise l’individu. Privilégiant la sécurité active, vous noterez le port de protèges poignets qui assurent l’essentiel, la résistance à l’impact au sol car ce seront toujours les mains qui toucheront le sol en premier. Pour ce qui est du fameux freinage Lausannois ; j’y arriverai sans doute le jour ou je prendrai une remontée mécanique…

Music courtuaesy used from the Headhunters « four play »

Les impactes au sol

Voici des exemples de lésions superficielles de l’épiderme dues à des chutes sur le goudron… Ces types d’abrasions se soignent très bien, et grâce à une pommade de type Cicatryl, vous retrouvez une belle peau et sans cicatrice justement. Car oui, les impactes au sol peuvent survenir, mais elles ne sont pas insurmontables. Le corps rebondi légèrement sur le sol occasionnant une torsion des muscles qui peut être douloureuse, mais il ne faut pas avoir peur de chuter ! Ces traumatismes font partie de l’histoire du skateboard. Ce sont comme les coups au rugby ou en boxe… Naturellement il convient de garder une hygiène sérieuse, sinon, la blessure peut s’infecter.

Le repos après le trajet

Partir en bagnole, se taper des kilomètres pour aller rider, arriver crevé et finir par foirer complètement sa session, tout en étant dans le tempo du voyage n’est jamais une chose simple à gérer. Voyager pour voyager, n’est pas une fin en soi, ou alors particulièrement égoïste. Reste un truc à prendre en compte, c’est le jet lag, ou alors la récupération du déplacement. Etant donné que j’ai toujours voyagé seul, j’ai appris à m’acclimater, à ma nouvelle région. Prendre le temps avant de courir surfer, prendre le temps en attendant la neige, ne pas s’affoler, les bonnes conditions sont parfois difficiles à trouver, mais il n’y a pas de stress, et toujours s’adapter. Prendre l’avion pour aller chopper une demi douzaine de vague aux Canaries, n’est pas forcément un bon plan… Surtout si c’est pour rester 7 jours dans le rush. Il est grand temps de réinventer notre mode de déplacement… Tout est trop vite et facilement accessible, pour beaucoup de destination, il faut bien rappeler qu’à l’échelle de l’individu, nous pouvons parcourir environ 100 km par jour à vélo sans trop forcer, et 50 à pied maximum, ça fait relativiser. Et puis il y a des endroits où l’on se sent mieux que d’autres…

La thermo sensibilité

Un peu comme Wim Hof et son traitement par grand froid, la thermo sensibilité est un aspect intéressant du free-ride, car nous affrontons des températures extrêmes, froid, ou chaud. Enfin, plutôt chaud à la vue du réchauffement climatique. Aussi, la pharmacie nous dote de nombreux produits à action thermique pour parer aux petits bobos du quotidien, de la même manière qu’il convient d’être équipé pour affronter les grands écarts de température. Crèmes solaire pour les grands chaud, équipement chaud pour les grands froids, tout cela paraît évident. Reste ici un détail, cette canette de Coke Life, série spéciale de Coca Cola sortie discrètement il y a environ dix ans. Coke Life, un peu osé comme nom ? Quoi, d’autre, difficile de penser que l’on pourrait boire un truc mortel…

Ici vous trouverez un gel cryo pour le repos après le sport et un gel warm up pour l’échauffement avant le sport. Parce que la thermique fait entièrement partie de la vie, physiologique de l’individu sportif. Je rajoute un détail, les lunettes et les bouchons d’oreilles, pour aller plus loin dans le domaine des perceptions…