Lausanne

Cette ville est vraiment un paradis pour la glisse urbaine, non seulement son skatepark la Fièvre est un monument historique des sports extrêmes, mais l’urbanisme de cette capitale du canton de Vaud est unique en son genre. La topographie de la ville propose une marina, le port d’Ouchy comme lieu de rencontre des patineurs, pour ensuite utiliser le métro de cette station pour remonter quasiment jusqu’à Epalinges avec un seul ticket de métro. Vous pouvez alors pratiquer la descente en ville sur des routes d’une qualité Suisse ! Car non seulement la remontée mécanique du métro fonctionne comme dans une station de ski, mais les routes Suisses sont aussi d’une qualité invraisemblablement bonne pour les slides ! Seul bémol, le coût de la vie là bas, un peu plus cher qu’en France…

hauteur

Une particularité souvent ignorée des rollers ou du skateboard réside dans ce changement de taille qui s’opère dès lors que vous chaussez les rollers. Concrètement, vous mesurez au minimum dix centimètres de plus. Cette modification de votre physiologie sportive va impacter plusieurs sens lors de votre pratique. La proprioception, le regard, le sens de l’orientation, votre vision sont sensiblement différents. Prendre une chaise, atteindre un distribanque, saluer vos amis, qui eux sont en basket, surprendra chacun. Vous mesurez 10 cm de plus que d’habitude, et eux sont plus petits. Est ce là un signe de supériorité du roller sur les simples piétons que nous sommes ? Oui, dans le sens ou un rollerskateur sera plus rapide en déplacement sans plus d’efforts, mais non, car il faut aussi savoir rester humble et comprendre qu’une chute peut intervenir toujours par surprise.

4808

Avec vingt ans cet automne d’usage de ma freebord alpha, à raison d’une sortie hebdomadaire pendant cette même période, soit 52 par an, avec en moyenne 4 kilomètres et 808 mètres par sortie, soit l’altitude du mont blanc, j’aurai parcouru au total 5000 kilomètres sur ce skateboard de descente. Les chiffres sont une estimation qui semble assez proche de la réalité, puisqu’à partir des données et du big data de mon trackeur d’activité utilisé pendant 5 ans, chaque sortie en planche varie entre 4 et 15 kilomètres en moyenne. Particularité de ce blog freedownhill, l’absence de véhicule pour remonter la pente. Et oui, votre humble serviteur remonte toujours la pente à pied, et cela depuis le début en octobre 2005. Avec un parcours chargé de slalom et de glisse, l’acquisition de cet objet aurait définitivement laissé une trace sur mon expérience de rideur. A l’époque, débuter sur un skate à l’âge de 30 ans était un sacré challenge, aujourd’hui, durer 20 ans de plus sera le challenge à venir ! Happy birthday freebord alpha !!

Skate redemption

Il ne faut pas rêver, on ne peut pas avoir une vie de fêtard et en même temps, être un athlète. Les abus de Jack Daniel’s, de cigarette, de bière et de Lucky Strike, ne mènent pas sur la piste aux étoiles du skateboard, encore moins un free ride global. Certes, la jeunesse pardonne, mais la vieillesse comprend. Toutefois, ici, dans cette vidéo de fitness, la résilience est l’effort de tenter un peu d’exercice, reste toujours mieux que rien. Pour de multiples raisons, ce travail de gym reste important, même si il apparaît, inutile, ringard, dépassé ou mal réalisé. Oui, l’entrainement, avec comme clef la préparation à l’effort pour continuer de skater, et pourquoi pas, toujours faire la fête en buvant des verres de lait, une sacrée dinguerie !

Raw run

Traduction littérale, « la course crue » le rush d’adrénaline, la vitesse pure… et le décor où s’emplafonner… se faire très mal par la même occasion. L’équation est simple, plus on augmente la vitesse, plus le risque de blessure se défini. Toutefois comment être spectaculaire sans prendre de risque ? Une session impressionnante vous rapportera de l’argent grâce à son audience, et donc il y a cette surenchère de risque. Ce qui n’est pas mon cas ici, puisque je mesure une vitesse restreinte sur une route qui demeure impressionnante. Certes, le résultat est mitigé, mais je conserve quand même un souvenir particulièrement agréable de ce passage très décontracté. Sans avoir l’ivresse de la vitesse, garder la maîtrise est ici un exercice sportif quelque peu technique. La même route à vitesse maximum, et la combinaison de protection devient obligatoire, voir fermer la route pour l’occasion. A moins d’être kamikaze cherchant à tutoyer les anges… Je ne fais pas de descente de la mort, terme peu utilisé dans le milieu, presque tabou, car de toute façon, nous ne voulons pas mourir.

Boom de la freeboard

C’est vérifiable dans les statistiques de ventes, en neuf ou d’occasion, la freeboard connait une vraie embellie, un essor un développement notable. Cette planche née à San Francisco dans les années 90 est devenue un véritable engouement de la part des communautés de rideurs. D’ailleurs, communauté de rideurs dont le niveau ne cesse de croître, d’une manière totalement débridée et surprenante de créativité. Rien de plus normal qu’au mois de juin 2025, ce skate confidentiel du nord Californie devienne une discipline à part entière avec sa 5eme mouture, soit la freebord 5X. Sur le bon coin, les freeboards deviennent particulièrement rares à la vente, comme une indice également que le niveau des propriétaires monte également, oui, donc moins de freebords en vente. C’est une mode qui durera ? Telle est la question, toutefois, lorsque l’on observe les extraordinaires prouesses de la jeunesse, on peut penser que ces acrobatiques athlètes ne voudront pas se séparer de leur objet si facilement que cela, pour preuve des événements de rencontre régulier organisés quasiment tous les weekends. Maintenant il est difficile de trouver une planche à moins de 100€, alors que la mienne fût acquise 65€ en 2005 !

tu as intérêt à tout oublier

Il vaut mieux être parfaitement concentré lors de free ride. Contrairement à d’autres sports collectifs où le dialogue, l’échange est inévitable, d’une certaine manière, l’exaltation, le caractère autistique, la concentration durant l’évolution, l’instinct, le subconscient, l’attention, sont complétement mobilisés pour parvenir à réaliser les manœuvres prévues ou espérées. C’est radical, vous devenez en respectant ce principe d’investissement un rideur à part entière. Et que vous le vouliez ou non, l’instant va décider, dans une spatialité, une identité, la vôtre, le spot que vous avez choisi, le temps prévu. C’est un bonheur absolu de pouvoir se consacrer à part entière à son sport, devenant plus qu’un bol d’air, mais véritablement un mode de vie. Faire appel à ce type de ressource dans votre propre identité d’après l’expérience, démontre là ce que l’on peut nommer un grand équilibre de vie. Pleinement présent dans sa ligne…

Vibrations

La surface sur laquelle nous nous engageons donne toujours plus ou moins de vibrations, donnant une sensation plus agréable à mesure que la rugosité de la route s’estompe. Variable en fonction de la taille des roues également, l’attention et le sentiment de gêne apparaissent croissants avec une route vibrante. Le rendement chute drastiquement avec la rugosité. Engendrant davantage d’effort, la sollicitation est plus importante pour la concentration et l’effort. La texture de la route possède cette corrélation directe avec le plaisir que vous prenez, sur un billard, la vibration est quasi nulle. D’où cette proportion à chercher les meilleurs spots, le meilleur goudron pour évoluer avec ce sentiment de plaisir et de facilité. D’autre part, une route lisse rendra plus facile vos glissements de freinage, chose très différente sur une route chaotique, dépendant de la régularité de l’axe sur lequel vous roulez. Vous ressentirez ces vibrations jusque dans votre regard…

Piratage

C’est avec mes plus plates excuses que je dois livrer ici mon regret d’être totalement piraté par des personnes malveillantes dont, c’est assez cocasse, l’action se résume dans la dispersion de commentaires inappropriés ou incohérents sur mon blog, sur une grande majorité d’articles quasiment, mais en particulier celui Respect. De cette manière, le discrédit est jeté sur mon travail, mais en plus, il n’est pas possible de se fier à aucune statistique digitale en extrapolant, et pourquoi pas, même remettre en question tout le paradigme établi dès lors que l’on plonge dans le vaste blog dont votre modeste serviteur, reste tant bien que mal le responsable. Veuillez excuser ces données indépendantes de ma volonté, comme par exemple les pipelines Irakiens, les fausses adresses Youtube, le développement personnel vu par des Américains et des escorts girls en Turquie… En vidéo, le problème de la coupe de cheveux est une priorité, à regarder jusqu’au bout et sans aucun rapport diplomatique autre que Franco-français.

Précisions

En free ride, la précision les précisions sont souvent cachées là ou l’on ne les attends pas. Si les éléments, neige-eau-route semblent facilement accessible, l’expérience montrera que l’apparence inerte du terrain d’évolution sera faussement prise en compte sans une préparation sérieuse, rigoureuse, attentif. Par exemple, la route et en ce qui concerne les slides ou demi-slide, sont plus où moins accessible selon la température du sol. Certes, cette valeur du paramètre d’adhérence est mesurable, mais il devient compliqué, voir pénible de prendre la température du sol afin d’adapter le choix des gommes ou leur densité en fonction de sa valeur thermique. Nécessité de professionnalisme pour survivre. Ainsi, la texture de la neige en ski, la rugosité de l’eau en surf, offrent une marge de manœuvre ou le rideur pourra s’exprimer d’une manière indépendante des choix techniques. Si un plan d’expérience est structuré pour déterminer l’occurrence de chute, statistiquement, les erreurs d’appréhensions du terrain seront à corriger par le sportif lui même, imposant également une grande précision dans les préparations physiques et mentales. NE Rien Laisser AU Hasard !

Day & Night

Si les spots où l’on free-ride ont une incidence sur notre psychologie, il va de soit que l’alternance du jour et de la nuit sera déterminant sur nos subconscients. Oui, en ski, en surf, en skate, les deux premiers préfèrent toujours le jour, alors que l’on peut en skateboarding ou surtout downhill, profiter de la nuit pour s’employer. Choisir des avenues désertes, des boulevards abandonnés, des rues vierges de toutes contraintes autoroutière, urbaine ou usité des usagers. Ensuite vient évidemment le style de spot, avec son style de pente, son style de courbe. Et là, certains endroits auront délibérément une influence psychologique sur le ou la pratiquante qu’on trouve. Mais la ville recèle cette chance incroyable de l’éclairage publique. Clin d’oeil extraordinaire au siècle des lumières, puisqu’on préserve ce nom glorieux en lien avec la littérature de la même époque, soit de 1750 à 1850 dirais-je approximativement, période de la dispersion de ce même éclairage publique, avec là aussi un déploiement de l’indoor vers l’outdoor…

choose your way

Monter pour redescendre

Gagner pour dépenser

Acheter pour revendre

Parler pour écouter

Créer pour recycler

Partir pour revenir

Monter pour redescendre

Salir pour laver

Enregistrer pour oublier

Acquerir pour céder

Préparer pour réaliser

Evoluer pour durer

Savourer pour digérer

Construire pour démolir

Réparer pour casser

Skater…

Park feelings

La différence entre style libre, et évolution libre, freestyle, freeride, se conjugue sur un terrain délimité, de genre stade de foot, mais défini pour le style de vos objets roulants identifiés ou non, sur les modules. Vous le saviez déjà, toutefois, ici le comparo entre le focus sur la balle et le focus sur soi-même vous équipe de votre skate, trot’, rollerblade… Terrain limité, concentration en groupe, ambiance. Il est rare d’être seul en park. Alors que le but est de scorer au foot, le but est d’être meilleur en free-style, s’améliorer. Les règles du foot ? Connues de tous et toutes, et les règles du park ? Une question de standing, d’atmosphère, de compréhension, d’intuition, de respect, d’effort et de pratique. Je dirais même French Flair et Fighting spirit dans le même mouvement répété avec application. Alors que le jeu se déplace sur tout le terrain de foot, un park harmonieux est exploité en théorie, partout, en fonction de vos capacités, et non pas en fonction de votre poste. Oui, la créativité, la liberté dans un environnement défini, le dialogue avec les autres rideurs mérite toute votre attention comme seule règle valable. Un peu comme dans la vraie vie, avec les gens que l’on rencontre tous les jours, partout. Le feeling du park, dans un regard…

retrospective

Depuis 25 ans de pratique de la descente en mode rando, il est parfois important de regarder en arrière pour mieux savoir où aller dans l’avenir. Et avec des milliers de kilomètres parcourus en free board et roller, je peux savourer un avenir expert en la matière. Un carnet de sorties, des analyses techniques, la préparation physique, la gestion de l’équilibre, l’assurance, autant de points développés qui m’ont permis, me permettent de préparer de prochaines sessions serein. Ce qui me permet également de rester performant professionnellement. Préserver mes acquis, assurer mon évolution, anticiper, et continuer la recherche de progression car cet idéal vers lequel l’on tend, n’est pas atteignable, la vie étant un mouvement perpétuel, il n’est jamais possible de « figer » quoi que ce soit durablement. Cet atout reste un point de compréhension à partager pour lequel je serai investi : Le coaching, le partage, lutter contre la vieillesse, rester maître de mon évolution et surtout prévenir les accidents, continuellement. C’est la revue de direction, le bilan, la rétrospective… Voyant derrière tant de discrètes performances, de sourires et de joie, je ne peux voir l’avenir que confiant : L’évolution est un état de la vie proprement dit, particulièrement dans le free ride… « Laird Hamilton ».

Paradoxal session

Les constructions routières et leurs infrastructures sont essentielles pour la pratique du Rollerblade en free-ride, autrement dit en liberté, sinon, évidemment, vous êtes dans un skatepark en plein free-style, autrement dit en recherche de style. Le clip joint ici est une zone commerciale de l’Est de la France, Vesoul City. Des voies larges, du goudron de très bonne qualité, de l’espace. Un spot de rêve me direz vous ? Pourquoi pas, toutefois, le magasin de sport que vous connaissez et reconnaitrez sur la vidéo, propose un rayon ski plus grand que le rayon roller ? Est ce que les montagnards vont vendre des patins à roulettes ? C’est assez dingue de constater que les référencements boutique vont à l’encontre même des logiques d’implantation. Le rêve est en vente libre, ces magasins sont davantage des agences de voyage, plutôt que des boutique de sport, excepté au rayon vélo. Et si vous poussez la porte d’une agence de voyage, le dépaysement va être sportif, avec des transports nombreux parfois en une simple semaine. Comme le dit Chicandier, « c’est ça mon analyse ». Bref, il reste toujours possible de pratiquer le roller sur ce spot magnifique…

Worldwide

Tout comme l’émission de Gilles Peterson du même nom, la glisse urbaine, expression d’une pure liberté, s’est propagée partout à travers le monde. Que vous soyez à Hawaii, au Brésil, en Europe, Moscou, à Lomé ou au Japon, les vendeurs de roller skate ont réussi un coup facile : Rien de plus aisé que la vente d’un produit dont le besoin est là. Le plaisir de la glisse au départ de chez soi, depuis la Suisse jusqu’au Maroc, en Suède ou à Lisbonne, en Autriche ou au Royaume Uni, sans oublier le goudron Parisien, un des meilleurs que j’ai pu employer, la jeunesse s’est appropriée avec une facilité déconcertante depuis ces 20 dernières années des outils incroyablement performants pour se mouvoir, explorer son environnement et découvrir, se découvrir de manière éthique et ludique. Le plaisir comme exemple, quoi d’autre ? Avec quelques recherches sur le Web, vous voyagerez facilement d’une contrée à l’autre, à l’aide des rollers ou du skate de votre choix à la rencontre réelle ou virtuelle, de communautés toutes investies dans la même passion que la votre.

Outil

La simplicité des outils de free-ride possède ce point commun avec les « outils » thérapeutiques qui sont utilisés en cas de blessure. Des skis, un skate sont toujours des éléments rudimentaires et basiques, tout comme un fauteuil roulant, des béquilles ou une atèle de poignet. Sauf que l’orientation permet de soutenir le corps en cas de thérapie, alors qu’il s’agit d’épanouir le corps en cas de sport. Dans de nombreux cas, les éléments nommés contribuent à la vie en général… C’est avec ces éléments les plus basiques que l’osmose entre l’outil et l’individu restent les meilleurs… D’un côté un outil de compensation du corps, de l’autre un outil d’émancipation du corps. Toutefois, le digital, les matériaux moderne nous proposent des innovations qui contribueront encore d’avantage à l’augmentation des capacités, en free-ride, ou en médecine.

Danse inline

La liberté de mouvement se trouve particulièrement amplifiée grâce aux rollers, les roues de vos patins étant totalement libres, elles donnent une instabilité qui va engendrer pour certains d’entre nous des crispations et parfois même une crainte tenace. Aussi, prenant l’exemple de la danse, vous noterez qu’il convient de libérer son corps au rythme de la musique, chaque musique étant propice à une expression corporelle différente. En roller, les terrains, ou les types de patins proposent également ce même type de besoin à désinhiber son corps, ses mouvements corporels pour pouvoir non seulement être en sécurité, mais aussi pour parvenir à trouver du plaisir dans le mouvement. Toutefois silencieuse, la proprioceptivité de votre évolution devra s’épanouir, se décupler, s’amplifier, s’extérioriser à cause des roues libres, mais aussi trouver son propre style et sa fluidité pour parvenir, pourquoi pas, à pratiquer la rampe ?

Instruction au rollerinline

En 2012, je travaille déjà sur les préparations physiques pour l’acceptabilité des contacts au sol. Renforcement musculaire, souplesse, réactivité, travail postural et respiratoire, concentration, etc… Autant de méthodes liées au bien être et à la performance quotidienne.

Aujourd’hui, je me rends disponible pour accompagner les apprenants, les personnes désireuses de découvrir l’environnement urbain au départ de chez soi.

Avec des tarifs à partir de 29€/personne pour 45 minutes, l’offre se décline ensuite en fonction du volume horaire prévu.

N’hésitez pas à contacter un expert pour évoluer en toute sécurité ! TEL : 06 21 34 22 95

Sports extrême et effondrement

La sortie d’un nouveau livre, essai, titré initialement « Rôle connard des sports extrême dans l’effondrement à venir » bénéficie d’un titre moins punchy mais le propos n’en reste pas moins légitimé par un parcours résumé en 2 tranches de 25 années, l’apprentissage et l’expérience. Après un recueil de poésie, un roman, des mémoires, voici l’essai. Avec une montée en puissance de ces deux phénomènes de société, l’un mortel, l’autre également, à condition de ne pas faire d’erreur, la survie et le spectaculaire sont au rendez vous. Disponible au Lys Bleu éditions.

Riding destination analyse

Dans les milieux où j’ai pu m’investir en session ; la neige, la mer, la ville, pour résumer les trois différents éléments de progression, une chose se distingue nettement : J’ai toujours constaté le coup de dé du relief neigeux. Le vent, la chute de neige, provoquent un relief qui est statistiquement toujours et systématiquement changeant. Imprévisible. Jamais connu vraiment deux descentes similaires, autant serai-je un modeste skieur. Dans les vagues, le topo est le même, c’est le coup de dé du relief, marée, embruns. Imprévisible. Jamais connu vraiment deux vagues similaires, autant serai-je un modeste surfeur, la présentation statistique des déferlantes et toujours et systématiquement changeante. En fait, si mes souvenirs de ces éléments sont bons, il n’y a que la route, la Route, qui propose un résultat pair au dénombrement stat analytique. Les modèles de calculs seraient multiples avec un plan d’expérience sous big data. C’est une intuition somme toute logique d’un point de vue poétique, à vérifier mathématiquement. Les éléments vivants, l’eau gelée ou l’onde liquide, auraient toujours cette occurrence impaire sur le mental. Et j’ai le sentiment que cette variabilité se restreindrait, en raison du réchauffement climatique, n’est ce pas ?

Slow assure

Pour ce qui concerne les débutants du roller ou celles et ceux qui sont apeurés à l’idée de pratiquer et naturellement, de tomber, je préconise plusieurs exercices destinés à générer sa propre assurance dans l’équilibre, mais également sa capacité à enregistrer un contact au sol qui ne soit pas générateur de blessure. Car oui, il est possible de toucher le sol sans forcément se blesser. Et ceci dépendra de votre réactivité, votre musculature, mais aussi des protèges poignets qui seront sollicités, par réflexe. Tout d’abord, un exercice simple consiste à s’assoir par terre sur le goudron pour essayer de se relever sans utiliser ses mains depuis le sol. Cet exemple de travail musculaire va en étonné plus d’un, parmi celle et ceux qui ont totalement perdus leur liaison au sol. En effet, les chaises, fauteuils, canapés, bancs, tabourets, tout est toujours à hauteur dans notre société occidentale, et préserver sa liaison au sol avec cet exercice à renouveler plusieurs fois sera stimulant pour votre musculature proprioceptive d’équilibre, les membres supérieurs étant dédiés à la balance au mouvement lors de cette manœuvre. Un deuxième point, s’entrainer à marcher le plus lentement possible. On marche toujours très vite, avec des roulettes, il est inutile de garder le même tempo. Bonne session à toutes et à tous, et n’oubliez pas de commentez réponse garantie !

wheel change

Plusieurs choses concernant le changement des roues, une modification de set-up de son matériel : Avec une usure prononcée des roues, je passe à une augmentation de près de 20% du poids de la planche, de roues usées jusqu’au noyau, à roues neuves et opulentes d’uréthane. Pour une planche de 6 kilos moyens, c’est plus de 500 grammes de modification sur la vélocité de la planche à l’usage, mais aussi lors de son portage. C’est là toute la différence, avec cet écart radical et sensible, le ressenti est présent avec un effort supplémentaire palpable. Cependant, les avantages sont nombreux car le glissement redevient meilleur, le shape, la forme des roues étant neuve et particulièrement homogène à l’usage. Avec donc la modification de toucher et de portage, dû au poids, la modification ressentie à la session engagée, est elle aussi bien différente. Alors la corrélation est géométrique, mais aussi massique, impliquant une appréhension sensiblement différente lors des premiers glissement afin de ne pas se laisser surprendre. Retrouver son plaisir en franchissant ce challenge de maîtrise à comprendre dans son mouvement !

Fiche tecknic

La planche de freebord est d’un certain aspect, transitionnelle. Avec ces roues centrales roulant en permanence, vous devrez basculer, d’un coté à l’autre, pour trouver, choisir votre « drift » ou « slide » avec les roues latérales… En effet, ses roues centrales pour celles et ceux qui ignorent tout de la freebord, ou les spinners, pour les habitués, roulent constamment au sol. Avec en plus, un axe de rotation sur la verticale, centré sur la planche, donc, vous avez une roue libre, doublement. Dans la vidéo ci dessous, vous verrez la hauteur de bascule, puisqu’un coté drift, l’autre n’est pas en contact avec le sol et inversement. Lors de vos tentatives d’usage de cet engin roulant identifié, vous choisirez un coté, pour permettre le glissement des roues latérales, tandis que celle centrale ne glissent jamais. Pour ensuite basculer sur l’autre et ainsi de suite… Une hauteur de 0,5mm à plus 1cm est souvent nécessaire pour un bon équilibre. Naturellement, plus la hauteur de bascule est importante, plus la planche est bancale. Toutefois, cela peut éviter la faute de quart, qui provoque le back-edge, traduit par « l’envoi au tapis ». A vous de tester donc, avec la planche en transition, le changement de côté. Mouvement d’un appui latéral à l’autre, avec bien sûr les rotations sur votre axe… Avec deux paramètres à prendre en compte, la taille des roues latérales, et le réglage des hauteurs de roue centrale… C’est dans sa position de transition intermédiaire que l’on trouve cette petite sensation de carving semblable au surf…

Yin Yang

L’alternance du mouvement, en rollerblade, en surf de rue, donne perpétuellement la dualité dans notre propulsion. Cette dualité ; ces correspondances entre deux ensemble, se retrouve partie intégrante dans nos sessions :

Espace occupé / Espace libre = Trajectoire

Stress des usagers/ Décontraction du rideur = Engagement

Vitesse / Lenteur = Attitude

Assurance / Quitter la zone de confort = Risque

Bandelette nasale / Sans bandelette nasale = Physiologie

Les exemples sont nombreux pour cette université d’assimilation à sa propre évolution en environnement donné, par exemple sur le trajet conduisant au skatepark… Porter l’écarteur nasal pendant la session mais également après pour ne pas pénaliser la récupération, dans une optimisation physiologique entière. Ou comment trouver un plaisir dans la déplacement pratique, question cool par excellence… Trouver sa fluidité, quelque soit l’heure, pour englober cet ensemble de Yin Yang, comme le décrit Gerry Lopez dans son biopic perso : «accepter, intégrer, permettre, céder, nourrir, comprendre, aimer… »

Half slide

Le freinage en T, raclette, d’un pied passif trainant derrière votre premier patin roulant est un classique des débutants en roller, les bras bien écartés pour la balance du ralentissement progressif. Toutefois, même sûr, le freinage alternatif d’un seul pied peut devenir actif. Pour cela, il faut simplement fléchir (encore et toujours) vos appuis pour permettre l’avancée du pied choisi pour le half slide. Oui, la même chose, mais en freinage actif. Vous allez voir dans la vidéo ci dessous, une poussée brève mais nette, vers l’avant du pied au freinage. Opposé du pied au roulant, qui lui reste en retrait. Cette technique simple, permet de doser le frein en gérant son « toucher » de route. De cette manière, vous accéder à un pas propice aux célèbres « magic » ou freinage Canadien, le snow plow, chasse neige, les deux pieds en diag, pour s’assoir confortablement dans un frein manière tréteau. Cette voie recommandable pour le chemin du powerstop, full slide Lausannois, est une manière active, particulièrement importante pour l’avancée en confiance, et surtout, une glisse en mouvement choisi.

Bearings feel

Le roulement des patins, des skateboards, son sifflement si particulier lorsqu’il est en train de rouler entre vos doigts… Il reste et demeure sans doute une particularité cinématique totalement folle pour l’être humain dans son rapport à la psychologie motrice. Un sentiment de totale désinhibition devrait s’approprier chaque skateur, chaque rollerbladeur, dans sa gestion instantanée de l’équilibre. On dit souvent pour un motard qu’il doit faire corps avec sa machine, alors que pour le skate, ou le roller, c’est sensiblement différent. La proprioception est immédiate, et l’acquisition ne demande pas d’aller vers des gestes d’extrême dinguerie, mais plutôt d’extrême psychomotricité. Dégingandé, par exemple, mais en gardant la fluidité. C’est vraisemblablement un point commun de tous les styles les plus admirés… Sans férocement rechercher l’exploit, car il est déjà de pouvoir se mouvoir en osmose avec son roulement. Ici en vidéo, des postures d’entrainement à réaliser avant de partir dehors par exemple, attention, même ici, la chute risque de survenir si vous n’êtes pas agguéri, prenez des protections poignet, coude genou hanche, casque si besoin, ou réfléchissez en bougeant, méthodiquement, comme un musicien s’entrainant d’abord lentement : La majeur, Si#, do, sol 7em ?

Conditions

Que ce soit à la neige, à la mer, ou en ville, les conditions d’engagement s’observent impérativement. Dans tous les cas, en omettant un détail, il se rappelle à vous dès le début de votre session. Même, une variable changeante, du fait du déplacement permettra de réévaluer la session durant son déroulement. L’humidité, le vent, la lumière, les vagues, la marée, les températures, la circulation, les autres sportifs rideurs, bref, autant de considérations à appréhender pour une bonne session. De la même manière, le spot, le relief, sa topographie, ses caractéristiques apprennent souvent pas mal de choses sur le déroulement de votre glisse. Les rochers à prendre en compte, les crevasses de la route, les présences de glace… Apprendre à connaître…

Diet

La supplémentation nutritionnelle permet de trouver des apports particulièrement précis, à prendre dans le cadre d’un suivi médical, ou bien des compléments généraux disponibles en magasin ou sur Internet pour supporter une activité sportive régulière. Les conseils proposés sont ici de ne surtout pas modifier son alimentation et de conserver une base nutritionnelle régulière composée par ordre décroissant d’importance de :

Sucres lents – Protéines – Lipides – Minéraux

L’usage des poudres d’aminogramme, présentés ici propose un soutien métabolique qui exclu tout mélange avec le tabac, l’alcool ou tout autre drogue ou médicament. Attention, en cas de problème parlez en à votre médecin.

D’une manière générale, différents arômes sont disponibles, Vanille, Chocolat, fruits rouges… Et pour une bonne complémentation, un seul supplément par jour suffit amplement. Avec deux options, avant l’effort pour stimuler, ou après pour reposer et ainsi amplifier les ressentis. De cette manière, accentuer ses sensations favorisera le métabolisme.

Freebo/Wavebo

L’été reste un moment propice à la pratique des sports de mouvements free-ride, en skatepark ou sur des routes adaptées, aux moments adaptés de la journée. Ici l’article du jour inspiré de nos amis d’Auto/Moto, présente un comparo entre la freeboard alpha, et la waveboard, avec mon ami et néanmoins expert ; Julien Streit. Un point commun entre ces deux planches ? La présence des roues centrales, avec les spinners pour la freebo, roues libres en bon Français, et les roues de chasse, moving wheels pour la waveboard. Rappel, la freeboard alpha présente une capacité définie à son glissement par le roulement permanent des roues centrales, opposées à un angle latéral choisi pour le coté en glisse. Inversement, la waveboard, elle possède un angle de chasse avec une torsion centrale, qui en opposition de force lors de l’impulsion alternative, génère une cinématique d’avancée permettant de se mouvoir sur terrain plat. Contrairement à la freeboard qui elle n’est destinée qu’à la descente. Prototyper l’effet des deux dans une seule planche, direz vous ? Cette option pourrait être une avancée technique sérieuse pour concevoir une freeboard de descente, « Keyboard » capable de générer son mouvement sur le plat ou les côtes. Faisable, avec une torsion centrale, de type plateau scindé, et de bonnes heures de bricolage en perspective… (Sauf si l’angle de chasse empêche la conservation de la direction lors du slide latéral). N’oubliez pas, lors de sessions de votre côté, placez le plaisir avant tout, étudiez votre technique, cela procurera de bon moment en session !

Mécanique freedownhill

Les dispositions mécaniques 2024 ayant atteintes des convergences techniques vraisemblablement intuitives, l’ensemble des paramètres d’une Ferrari hypersport ultranumérisées pourrait, comme un télécabine, pourrait rejoindre les ressentis analogiques. A l’usage, le muscle-car T7 New-Holland en campagne agro-industrie, la moto taxi Honda X-adv sous la pluie urbaine, orientent délibérément les rêves à monter un cheval, ski jorring aux Diablerets, nager avec les dauphins, sous les eaux limpides des atolls pacifiques… Quoi de plus techno en 2025 qu’avoir un cheval avec des sabots en pneu pour qu’il puisse galoper sur le goudron relax ? Un harnais d’attache accepté par le dauphin tractant le palonnier du plongeur ? Les chats domestiques de grande taille comme les lions ou les tigres sont aussi sympathiques à vivre au quotidien, ne nécessitant pas de prises de risque accessoire aux vives et intenses émotions. Les univers sont très éloignés, mais les idées sont réunies ; l’objectif est atteignable, dans un futur rêvé. Toujours plus intéressant de pouvoir rider même vieux, plutôt que rouler mécaniser jeune. C’est l’importance transitionnelle du soutien des mécaniques vers la capacité à soutenir les vieillesses, par exemple un déambulateur avec une interface numérique de soutien, avec des matériaux légers et un processeur cinématique.

Grosso modo, naturellement utiliser les crandberies pour le sport, et, mieux vaudrait employer les animaux plutôt que les moteurs pour s’amuser. Imaginez en 1800, qu’un usage des machines fût privilégié à la production agricole ou industrielle tandis que les fruits des fruits de cette fruitière fruiticole pouvaient nourrir les sportifs de tout âge, propulsant l’avenir de la société vers une boucle idéaliste d’harmonie entre les êtres humains, les machines, les animaux, encore d’autres machines, et enfin, les végétaux de toute taille. C’est quoi l’idée ? L’antiquité, légende d’Hannibal traversant les Alpes à dos d’éléphant, était un mammouth laineux des steps… Qui remorqua aussi, peut-être, un traineau de fret international chargé d’oranges Marocaines séchées ?

Connection link

Surf sur Internet ? Périmé ? Les multiples bases de données peuvent effectivement compliquer les transmissions d’infos, pour le sport free-ride, free-style. Vous trouverez dans cette pastille vidéo, un témoignage expliquant les liens d’une recherche de financement, d’une multiplication des bases de données, des dilutions de messages, des compréhensions, des vitesses d’acquisition, des études potentielles, des accessibilités, des consciences décrites, d’une structuration… Par le webmaster de ce site, de ce blog. Aussi, certains articles ou vidéos ne sont pas forcément très compréhensibles, ou explicites, il convient naturellement de laisser un commentaire, ou poster un email au management. Les explications seront livrées soit dans un prochain article, soit en réponse commentaire. Ici, Youtube et le compte youkounkounbluediamond sont utilisés en parallèle de ce blog et database, proposant des réflexions futures ou joindre les diffusions passées, avec votre propre connection. Enfin, les personnes ayant soutenu et aidé la réalisation de ces sujets auront peut être une surprise prochainement ! Encore merci à vous…

Energy Cake

Les préparations culinaires classiques pour les gâteaux de type « brownie » demandent les ingrédients suivants :

Farine de blé, miel, lait, Maizena, compote de pomme émulsionnée au lait écrémé, crandberies, un supplément nutritionnel Nutrend pré-work out à L-arginine alfa kétogluturate, sucre de canne, amandes brisés en deux, crème de coco, et gingembre.

Incorporez les ingrédients, mélangez sans laisser de grumeaux, nettoyer le plan de travail en cours de préparation si nécessaire, et ensuite, n’oubliez pas qu’il y a un ingrédient secret !

Cuisson au four traditionnel ou micro onde, avec une ou deux phases d’homogénéisation.

Il s’agit d’un gateau, équilibré dans la pyramide nutritionnelle avec : sucres lents, protéines, et acides gras plutôt insaturés… et oligo-éléments, minéraux, épices… au hasard.

ride free love plural

Avec le sport de glisse, le parallèle amoureux, avec l’idéal de relation, le sliding- plaisir partagé, partout dans nos cœurs peut conduire au mariage, ou à la vocation religieuse. Malgré ou grâce à tous nos voyages. Admiratif et respectueux des unions éternels, inquiet et interrogatif au regard de l’ordre théologique, nos antiquités recherchent la racine de l’Amour pour Sts Valentine et Valentin. Comme à l’aide des skis, des skates, des surfs, l’Histoire des déplacements de l’humain dans la nature, les forêts, les vallées, les rivières à franchir, les montagnes et déserts à traverser, les pièges de la vie, au temps saisonniers, le parcours se réalisa. Stopper par nécessité ou par envie.

Et d’une évidence lointaine, le voyage et la rencontre ; rencontre toujours ce goût de connaissance, ce désir de compréhension, un besoin de partage, la communion, le sexe. La citation suivante d’Albert Malreaux ou André Camuts, « le bonheur est le plus vaste de nos territoires, dénués de frontière peuplé de bonne volonté, patient de sourires, émus de plaisirs, triste d’au revoir, mélancolique de départ, nostalgique de distance, d’amour. » Alors, donc bon, le parallèle moderne de la vie classée X serait aussi cet héritage de l’antiquité ou les personnes voyageant par delà les contrées, territoires et pays, retrouvant l’inconnu ou l’inconnue, pour une relation brève, longue, variable, saisonnière, riche… Le X, l’extrême, deux univers où semble-t-il, une prise de risque, conduise conduite conduisant au plaisir : Quotidien partagé. L’anthropologie des amours historiques ne nous offre que quelques légendes, au confins de la tradition orale de secrets amoureux, souvenirs mythologique sophistiquées… De nos jours, l’Internet et le global free-ride, propose, offre, un multiculturalisme éthnique et culturel, religieux et relationnel, de l’inde à l’angleterre, de l’amérique du sud à l’allemagne, de l’afrique à la belgique, de la suisse à la californie, du japon à l’espagne, la Planete Bleue…

E-skatedrive

La sérendipité, dûe à la volonté de trouver un moyen de rôder, prowler les roues d’inlinerollerskate afin de déglacer le vernis nécessaire à l’obtention de l’adhérence optimale, abouti à la création de l’objet suivant : Le E-skatedrive ! Question de fabrication des roues, le vernis de finition génère une adhérence particulièrement haute, qui rend quasi impossible la glisse à vitesse réduite. La problématique d’usinage sur machine outil, en atelier étant exclue car la capacité de recyclage des usures d’uréthane demande l’identification du bon réseau de collecte. L’option de la modification d’une trottinette, scooter, équipée d’un frein magnétique de recharge des batteries, fut possible à partir de la localisation de la batterie dans le guidon. Le résultat est pratique avec différents aspects d’usage :

Le frein en roller, le guide d’équilibre, la propulsion motorisée, port de bagages, le rôdage des roues, ect… le lien avec le Mottrix, les potentialités sont nombreuses, le parangonnage également. Toutefois, les plans de ce type de projet existent déjà vraisemblablement pour de nombreux bureaux de recherche et développement. La question d’une optimisation avec un plateau amovible, destiné à créer la jonction avec un skateboard remorque est possible. Le schéma viendra ultérieurement sur le site www.e-skatedrive.com et pour plus d’infos sur le sous produit de ce blog lié à la glisse urbaine, contactez le webmaster qui répondra avec plaisir à vos questions. Enfin, le roller électrique étant particulièrement compliqué à construire en raison des emplacements et poids du moteur, des batteries, des commandes, l’adjonction externe du e-skatedrive s’avère un moyen adapté à gérer le roller en déplacement motorisé, comme les frères Galliazzo le faisaient en 2001 à Leysin avec des moteurs 2 temps hérités du karting. Notez également l’aspect interrogatif du site parallèle dans les approches numériques et digitales des réseaux imbriqués les uns aux autres, autour du skate, et free-ride en général, évoquant les relations entre les époques, les protagonistes, les lieux, les techniques, les outils, destinés à skater, optimiser la médecine, et, toujours garantir un max de plaisir !

web searchin’

Alors, les accès à d’innombrables références sur le monde, les bases de données, les possibilités proposées en cohérence avec vos potentialités, sont réelles sur Internet. Une masse, un volume d’information tellement puissant, que tout mensonge restera dramatiquement préjudiciable. Pour le skateboard, la recherche décrite ici en vidéo correspond à une innovation, imaginée grâce à la coïncidence des conceptions et personnalisations d’outils de free-ride. Le recyclage des pièces détachées, la qualité pour la sécurité. La préparation d’un modèle nouveau… La difficulté dans ce terme de « surf » sur Internet demeure très discutable, et pourrait être inadaptée. Seul avec son interface numérique demande une adéquation des informations en votre possession et leur usage en questionnement. Le tourisme numérique, découvrir les pays lointains sur l’écran, le dossiers artistiques sportif de personnalités reconnues dans des disciplines précises, Le Bon Coin ou Ebay, les compagnies internationales proposant des produits neufs, des curriculums-vitae ou des projets administratifs publics ou privés, la mise en relation après échanges concerté et concilié, les compétences médicales en cas d’urgence ? Comme Tinder, « the nurse made headline », traduit sans usage du web par l’infirmière fait les gros titres. Donc, plusieurs webs, plusieurs philosophies, plusieurs cultures, plusieurs pays, plusieurs personnes mais aussi ces étranges réponses de moteurs de recherches qui n’ont pas de cohérence avec votre demande. Lorsque la requête est effectuée sur le net, on ne peut pas en faire une autre. Chaque petite chose après chaque petite chose, comme le disait, monsieur Steve Vai. Ecoute, étudie, lis, analyse, apprend, patiente, répète, interroge, écrit, parle, film, corrige, structure, dessine, communique, traduit, programme, prévoit, diffuse, annonce, informe, et, dans tout cela, la notion de surf n’existe pas. Reste, un humain, capable de l’ensemble des pensées, actions sur le terminale numérique, la pensée est-elle une liberté semblable au surf ? Mais pas l’usage de l’internet. Et si le gars ou la surfeuse disparaît sous l’eau, c’est sans doute à cause de l’alcool, la drogue, ou l’inconscience sous de multiples facettes… Autrement, la pensée n’est absolument pas une glissage en mouvement, mais l’ensemble d’une quantité de savoirs et d’émotions, d’expériences, sur une ligne de temps et d’identité ! Nouées les unes aux autres, c’est assez compliqué et inutile ce topo non ?